Customize this title in frenchPowell ravive les craintes d’une hausse, affirme que la Fed n’est pas convaincue que les taux sont suffisamment restrictifs

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© Reuters

Investing.com — Le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, a déclaré jeudi que la Fed n’était pas encore convaincue d’avoir atteint un niveau de politique monétaire suffisamment restrictif pour ramener l’inflation à son objectif, suggérant que de nouvelles hausses de taux ne peuvent être exclues.

« Le Comité fédéral de l’Open Market (FOMC) s’est engagé à adopter une politique monétaire suffisamment restrictive pour ramener l’inflation à 2% au fil du temps. Nous ne sommes pas sûrs d’avoir atteint une telle position », a déclaré Powell dans son discours d’ouverture. Jeudi, lors d’un panel politique à la 24e Conférence annuelle de recherche Jacques Polak, organisée par le Fonds monétaire international.

Le chef de la Fed a reconnu que l’inflation américaine avait diminué au cours de l’année écoulée, mais a déclaré qu’elle restait « bien au-dessus de notre objectif de 2% », a déclaré Powell, mais a signalé que la Fed était loin d’être prête à accepter que l’inflation soit sur une trajectoire durablement inférieure. L’inflation « nous a donné quelques faux-semblants », a-t-il ajouté.

En contradiction avec l’optimisme récent selon lequel la Fed est sur le point de tirer le rideau sur son cycle de hausse, Powell a déclaré que « s’il devient approprié de resserrer davantage sa politique, nous n’hésiterons pas à le faire ».

Le chef de la Fed a toutefois équilibré ses propos en réitérant que la Fed continuerait à « agir avec prudence » sur ses futures décisions politiques.

Une approche prudente permettrait à la Fed de « faire face à la fois au risque d’être induite en erreur par quelques bons mois de données et au risque de resserrement excessif », a-t-il ajouté.

Le rappel de la persistance du cycle de hausse des taux de la Fed a contraint les traders à anticiper un nouveau retard dans les baisses de taux, la première baisse étant désormais attendue en juin de l’année prochaine, alors qu’une prévision antérieure prévoyait un début de baisse en mai.

À la suite de ces remarques, le marché a baissé alors que les rendements du Trésor conservaient leurs gains.

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