Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsLes prix de l’électricité sur le marché de gros de l’UE ont suivi une tendance à la baisse ces derniers mois, une évolution que certains gouvernements voient comme une opportunité de supprimer les subventions introduites en réponse à la crise énergétique, tandis que d’autres y voient un mauvais signal pour la transition énergétique. Lisez l’article original en français ici. L’invasion à grande échelle de l’Ukraine par la Russie en février 2022 a vu les factures énergétiques monter en flèche, de nombreux gouvernements nationaux ayant introduit des mesures d’aide d’État pour protéger leurs citoyens du pire de la hausse. Cependant, près de deux ans plus tard, et avec le retour des prix de gros de l’électricité aux niveaux d’avant-guerre, les choses reviennent à la normale – et les mesures de subventions énergétiques sont en cours de finalisation dans toute l’Europe. Dans Francele ministre de l’Économie Bruno Le Maire, désormais également en charge des questions énergétiques, a annoncé au début du mois que la facture d’électricité des ménages augmenterait en moyenne d’un peu moins de 10 % d’ici le 1er février 2024. Cette augmentation fait suite à la réintroduction progressive d’une taxe qui avait été réduite de 32 € par mégawattheure (€/MWh) à seulement 1 € au moment de la crise. Au 1er février, il passera en secours, à 21 €/MWh. Selon Le Maire, cela permettra des subventions à la production d’énergies renouvelables, des chèques énergie pour les ménages les plus vulnérables et des équivalents tarifaires pour les territoires d’outre-mer et la Corse. Bref, la baisse des prix sur le marché de gros de l’électricité marque « la fin du ‘quoi qu’il en coûte’ » après le bouclier de 90 milliards d’euros, a déclaré le ministre dimanche soir (21 janvier). Quelle est la situation dans le reste de l’Europe ? Dans Belgiqueles prix de l’électricité toutes taxes comprises ont augmenté de 61 % entre le premier semestre 2021 (270 €/MWh) et le premier semestre 2023 (435 €/MWh), selon les dernières données d’Eurostat.. À la mi-mars de l’année dernière, le gouvernement belge a abaissé le taux de TVA sur le gaz et l’électricité de 6 % à 21 %. Ainsi, au premier semestre 2023, la taxe ne représentera plus que 18 % du prix du MWh, contre 35 % deux ans plus tôt. Cependant, un « tarif social » destiné aux ménages les plus défavorisés, qui a contribué à réduire considérablement le coût de leurs factures pendant la crise, va augmenter de 9,3 %, le rapprochant ainsi des prix commerciaux. Dans Allemagneles prix toutes taxes comprises ont augmenté de 29 % entre le premier semestre 2021 (319 €/MWh, dont 52 % de taxe) et le premier semestre 2023 (412 €/MWh, dont 28 % de taxe). Mais les ménages commenceront l’année avec la suppression progressive des réductions des prix de l’électricité. Le plafonnement des prix devait initialement être prolongé jusqu’en mars, mais la crise budgétaire et la récession que traverse le pays obligent le gouvernement à réduire ses dépenses. Petite consolation, les nouveaux clients qui ont bénéficié de conditions de marché plus favorables et donc de prix plus bas de l’électricité ou du gaz, ne verront pas les prix augmenter. Le papier franco-allemand sur l’énergie a été travaillé par Paris avant le remaniement Avant la dissolution du ministère lors du dernier remaniement gouvernemental, l’ancienne ministre de l’Energie Agnès Pannier-Runacher préparait un document commun qui serait cosigné par son homologue allemand en guise de démonstration de conciliation à l’approche des élections européennes. voir la lumière n’est pas claire. Dans Espagneles prix TTC ont fortement baissé au premier semestre 2023 (182 €/MWh) par rapport à 2022 (353 €/MWh) et 2021 (257 €/MWh), principalement en raison de la baisse des taxes. Les taxes représentent 41% du prix de vente au premier semestre 2021, contre 16% au premier semestre 2023. Cependant, comme en France et en Belgique, les niveaux d’imposition devraient à nouveau augmenter. La TVA, passée de 21% à 5% pendant la crise, est passée à 10% au 1er janvier 2024. Un autre impôt, fixé à 2,5% au premier semestre 2024, passera à 3,8% au second. Dans Grande-Bretagne (Angleterre, Écosse et Pays de Galles, avec un système similaire en Irlande du Nord), où les prix sont initialement élevés, les prix – toutes taxes comprises – ont facilement dépassé 320 £/MWh (environ 373 €/MWh) pendant la crise. Le prix devrait retomber autour de 338 €/MWh entre janvier et mars 2024. Le gouvernement a toutefois décidé de maintenir la Garantie du prix de l’énergie, instaurée en octobre 2022, qui plafonne la facture annuelle maximale des ménages. Toutefois, sa réévaluation pour le premier trimestre 2024 montre une hausse de 4,9% par rapport au quatrième trimestre 2023, avant une éventuelle baisse au deuxième trimestre 2024. Dans Italieles prix TTC ont presque doublé (+78 %) entre le premier semestre 2021 (225 €/MWh) et le premier semestre 2023 (378 €/MWh). Résultat, le gouvernement a réduit d’un tiers le coût des impôts, passant de 36% de la facture au premier semestre 2021 à 14% au premier semestre 2023. Les consommateurs bénéficieront des garde-fous mis en place jusqu’en juillet, date à laquelle les factures devraient revenir aux niveaux d’avant la crise. A ce moment-là, comme en France, les prix seront affectés par une série de hausses, dont la fin des baisses d’impôts et le retour à un taux de TVA de 22%, contre 5% actuellement. Dans le République tchèquecomme en Italie, les prix ont augmenté de 78 % entre le premier semestre 2023 (180 €/MWh) et le premier semestre 2024 (321 €/MWh). Le gouvernement a introduit un plafonnement des prix, mais celui-ci a expiré début 2024, parallèlement à la réintroduction de taxes abolies, comme celle utilisée pour subventionner les énergies renouvelables. Ainsi, entre la réduction des subventions et la baisse des prix de gros de l’électricité, la facture des ménages tchèques pourrait augmenter d’environ 10 % en 2024 par rapport à 2023. La France et la Tchéquie défient les sceptiques de l’UE sur l’énergie nucléaire La France et la Tchéquie ont réitéré leurs appels mardi (9 janvier) à la Commission européenne pour qu’elle place l’énergie nucléaire sur un pied d’égalité avec les énergies renouvelables dans toutes les politiques de l’UE, mettant ainsi sur la défensive les pays traditionnellement sceptiques à l’égard du nucléaire. Polognele seul pays d’Europe où la part des taxes dans le prix final a augmenté entre le premier semestre 2021 (40%) et le premier semestre 2023 (48%), fait partie des pays de l’UE où la hausse des prix est la plus faible. Le prix de l’électricité est très réglementé et les tarifs sont gelés. Ainsi, les prix TTC ont augmenté de 14 % entre le premier semestre 2021 (155 €/MWh) et le premier semestre 2023 (177 €/MWh). Le nouveau gouvernement du Premier ministre Donald Tusk a décidé de maintenir le gel des prix au moins jusqu’à la mi-2024. Dans Slovaquieles prix, taxes comprises, ont augmenté de 30 % entre le premier semestre 2021 (132 €/MWh) et le premier semestre 2023 (189 €/MWh), tandis que la part des taxes a diminué de 21 % à 12 %. Cependant, en raison du plafonnement de la composante réglementée des prix finaux, les prix de l’électricité en Slovaquie n’augmenteront pas cette année et pourraient même baisser. Le gouvernement maintient donc des mesures pour atténuer la hausse des prix, contrairement à toutes les grandes économies européennes. Financer la transition En moyenne, les prix de l’électricité dans l’UE ont augmenté de 31 % (toutes taxes comprises) entre le premier semestre 2021 (220 €/MWh) et le premier semestre 2023 (289 €/MWh). Cependant, entre la situation financière compliquée et les dépenses publiques destinées à contenir la crise, la Commission européenne a demandé en mai 2023 aux États membres d’annuler leurs mesures anti-crise à partir de 2024. Dans le même temps, la part des taxes dans le prix final ne diminuera pas, affirme le groupe de réflexion Bruegel dans une note publiée le 19 janvier. Alors que la part des taxes représente 38 % de la facture moyenne de l’UE, elle pourrait augmenter, notamment pour certaines catégories de consommateurs, en fonction de la manière dont les décideurs aborderont la situation. L’objectif, selon Bruegel, est d’assurer le déploiement de mesures de transition énergétique, notamment par la promotion d’une industrie à faible émission de carbone et par l’utilisation accrue des énergies renouvelables et du réseau…
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