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Premiers succès déjà en 2015
Pour ce faire, les chercheurs devaient réussir à transmettre sans fil l’énergie générée dans l’espace sur plusieurs milliers de kilomètres vers la terre. Au moins à petite échelle, cela a déjà été réalisé en 2015 : ils ont transmis environ 1,8 kilowatts d’électricité sans fil à un récepteur à 50 mètres de distance. Une percée – même si une bouilloire pouvait à peine fonctionner avec l’énergie transmise. Après des années de recherche, l’agence spatiale est maintenant prête à faire passer son projet au niveau supérieur.
Mise en œuvre 2025
Dans un premier temps, la transmission d’énergie doit être testée sur des distances comprises entre 1 et 5 kilomètres. D’ici le milieu de la décennie, ils veulent être prêts à utiliser de petits satellites équipés de panneaux solaires à 36 000 kilomètres d’altitude pour transmettre l’énergie solaire à la terre. Ceci doit être réalisé grâce à l’utilisation de micro-ondes, qui peuvent facilement surmonter les nuages sur leur chemin vers la station de réception.
Idée pas nouvelle, mais chère
Incidemment, l’idée d’une transmission sans fil de l’énergie solaire depuis l’espace n’est pas nouvelle, comme le rapporte Nikkei. Dès 1968, un physicien américain a proposé l’utilisation de capteurs solaires spatiaux et, outre le Japon, les États-Unis, la Chine et l’UE travaillent également à leur propre mise en œuvre. Cependant, l’idée a aussi son inconvénient : selon Nikkei, les coûts de production d’autant d’énergie dans l’espace qu’une centrale nucléaire utilisant des capteurs solaires s’élèvent à 7 milliards d’euros – et donc plusieurs fois plus qu’une centrale nucléaire.