Customize this title in frenchQue regarder à la COP28 dimanche

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© Reuter. Le secrétaire d’État AMÉRICAIN Antony Blinken s’exprime lors de l’événement « Transformation des systèmes alimentaires face au changement climatique », en marge du sommet climatique COP28 à l’Expo de Dubaï, à Dubaï, aux Émirats arabes Unis, le 1er décembre 2023. SAUL LOEB/Pool via REUTE

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DUBAI (Reuters) – Après deux jours de discours consécutifs des dirigeants du monde, le sommet climatique COP28 tourne son attention dimanche sur la réalité du changement climatique qui alimente davantage de maladies.

Ce sera la première fois que les négociations annuelles de l’ONU mettent la santé publique à l’ordre du jour.

Alors que la malnutrition, le paludisme, la diarrhée et le stress thermique sont en augmentation – et menacent de mettre à rude épreuve des services de santé déjà en difficulté – les pays et les entreprises sont impatients de trouver davantage de moyens de protéger les populations alors que les températures continuent de grimper depuis des décennies.

La journée sur le thème de la santé attirera de nombreuses têtes d’affiche, dont le co-fondateur et philanthrope de Microsoft (NASDAQ :), Bill Gates, qui devrait se joindre aux Émirats arabes unis pour lancer une initiative de santé climatique.

L’ancienne secrétaire d’État américaine Hillary Clinton visitera également le vaste complexe de la COP28, où plus de 70 000 personnes du monde entier se sont rassemblées pour la conférence de deux semaines.

Clinton devait participer à un événement sur les femmes et le changement climatique.

La COP28 verra également la participation de l’ancien vice-président américain Al Gore, qui a partagé le prix Nobel de la paix 2007 avec le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat de l’ONU pour son travail visant à accroître les connaissances du public sur le réchauffement climatique.

Samedi, l’actuelle vice-présidente américaine Kamala Harris a cherché à promouvoir le leadership mondial de Washington en matière de climat, affirmant que son pays était redevenu « un leader mondial dans la lutte contre la crise climatique ».

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