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La société mère de Facebook et Instagram – Meta – a proposé de réduire de près de 50 % ses frais d’abonnement aux versions sans publicité des applications de médias sociaux en Europe (qui passent de 9,99 €/mois à 5,99 €/mois).
La décision intervient au milieu des critiques selon lesquelles les utilisateurs de Meta seraient obligés de payer pour la confidentialité via son service sans publicité, introduit pour se conformer à la loi sur les marchés numériques (DMA) et aux lois européennes sur la confidentialité l’automne dernier.
En 2023, Meta a dévoilé un service d’abonnement pour Facebook et Instagram dans l’UE, l’EEE et la Suisse, offrant aux utilisateurs une expérience sans publicité afin de s’aligner sur les réglementations de l’UE. Ce service empêche l’utilisation des données des utilisateurs à des fins publicitaires.
Reuters rapporte ce que l’avocat de Meta, Tim Lamb, a déclaré lors d’une audience de la Commission européenne :
Nous souhaitons accélérer ce processus depuis un certain temps car nous devons parvenir à un état stable… nous avons donc proposé de baisser le prix de 9,99 à 5,99 pour un seul compte et à 4 euros pour tout compte supplémentaire. C’est de loin le niveau le plus bas de la fourchette que toute personne raisonnable devrait payer pour des services de cette qualité. Et je pense que c’est une offre sérieuse. L’incertitude réglementaire existe actuellement et elle doit se dissiper rapidement.
Le militant autrichien pour la protection de la vie privée, Max Schrems, a déclaré que le problème ne concernait pas les frais : « Nous savons, grâce à toutes les recherches, que même des frais de seulement 1,99 euros ou moins entraînent un déplacement du consentement de 3 à 10 % qui veulent réellement des publicités à 99,9 % qui veulent toujours des publicités. cliquez sur oui. Le RGPD exige que le consentement soit « librement » donné », a-t-il déclaré.
« En réalité, ce n’est pas une question de montant d’argent, mais plutôt une question de « payer ou d’accepter » dans son ensemble. Le but premier de « payer ou accepter » est d’amener les utilisateurs à cliquer sur « ok », même si ce n’est pas leur choix libre et authentique. Nous ne pensons pas que le simple changement du montant rende cette approche légale.
Les entreprises risquent des amendes pouvant atteindre 10 % de leur chiffre d’affaires annuel mondial en cas de violation du DMA.