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Bruxelles Manfred Weber est de bonne humeur ces jours-ci. Depuis des mois, le chef du Parti populaire européen (PPE) milite pour que l’UE n’impose pas de nouvelles charges aux entreprises. Au vu de la situation économique difficile, un moratoire sur les lois de Bruxelles s’impose, répète inlassablement l’homme politique CSU. Et maintenant, son message semble faire son chemin.
Plus récemment, les premiers chefs de gouvernement ont appelé à une « pause réglementaire » – d’abord le président libéral français Emmanuel Macron, puis le Premier ministre belge également libéral Alexander de Croo. La présidente de la Commission, Ursula von der Leyen (CDU), a également reconnu le changement d’humeur : elle a chargé ses fonctionnaires de faire des propositions d’ici l’automne sur la manière dont l’autorité peut éliminer 25 % des exigences de déclaration pour les entreprises.
Les plaintes concernant la soi-disant escalade de la bureaucratie européenne sont aussi vieilles que l’UE elle-même, mais ces derniers mois, une grande frustration s’est accumulée à Bruxelles, qui est maintenant libérée : la semaine dernière, la Commission a subi une défaite inhabituelle au sein de la commission de l’agriculture de le Parlement européen.
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