Customize this title in frenchSánchez attend les nouvelles du Premier ministre – sinon l’Espagne devra faire face à de nouvelles élections

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Le mois prochain sera crucial pour que les Espagnols sachent si le Premier ministre sortant Pedro Sanchez dispose de suffisamment de soutien pour continuer à exercer ses fonctions ou si le pays devra à nouveau se rendre aux urnes.

Le leader du Partido Popular, Alberto Núñez Feijóo, n’a pas réussi à devenir Premier ministre espagnol lors du deuxième vote parlementaire vendredi dernier. Il a obtenu 172 voix pour et 177 contre, soit moins que les 176 nécessaires pour former un gouvernement, a rapporté EFE, partenaire d’EURACTIV.

Sánchez (PSOE/S&D) a besoin du soutien des deux principales forces séparatistes de Catalogne, le parti libéral-conservateur Junts Per Catalunya (JxCat, Ensemble pour la Catalogne) et le parti de gauche Esquerra Republicana de Catalunya (ERC, Gauche républicaine de Catalogne).

En échange de leur soutien, ils demandent à Sánchez une loi d’amnistie pour les personnes impliquées dans la tentative sécessionniste de 2017 et la tenue d’un référendum d’autodétermination.

Le président d’ERC, Oriol Junqueras, a réaffirmé samedi 29 octobre que l’amnistie « n’est pas un point final dans le processus de libération nationale » de la Catalogne, mais « bien au contraire », car elle représente « un pas essentiel de plus » vers l’indépendance. .

Parmi les dernières demandes formulées par JxCat et ERC figure celle que leurs dirigeants poursuivis pour la tentative sécessionniste de 2017 puissent réintégrer des fonctions publiques.

JxCat souhaite que son leader, Carles Puigdemont, en fuite depuis 2017 devant la justice espagnole et actuellement en Belgique, puisse revenir en politique en Espagne, tandis qu’ERC réclame la même chose pour Oriol Junqueras.

Pression croissante sur Sánchez

Sánchez et son possible futur « numéro 2 », la leader de la plateforme progressiste Sumar, Yolanda Díaz, ont réaffirmé depuis les élections générales anticipées du 23 juillet que l’Exécutif négocierait toujours dans le cadre de la Constitution.

Madrid est plus enclin à approuver une amnistie – ou une formule juridique similaire ou comparable – même si la question sensible du référendum semble être une ligne rouge infranchissable.

Pour accroître encore la pression, JxCat et ERC ont réussi la semaine dernière à faire adopter par le Parlement régional catalan une résolution exigeant que tous les partis ne soutiennent pas Sánchez s’il ne s’engage pas à organiser un référendum.

« Le Parlement catalan est favorable au fait que les forces politiques représentées au Parlement ne soutiennent pas l’investiture d’un futur gouvernement espagnol qui ne s’engage pas à travailler pour rendre effectives les conditions pour la tenue d’un référendum », lit-on dans le texte de la résolution.

Cependant, malgré l’unité – apparente –, les rivalités idéologiques entre les deux principaux partis séparatistes catalans compliquent les négociations. Puisqu’ils ne forment pas un bloc homogène avec lequel le PSOE et Sumar pourraient facilement négocier, leurs divergences politiques ne facilitent pas la conclusion d’accords.

Et l’horloge tourne.

(Fernando Heller | EuroEFE.Euractiv.es)

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