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Sánchez a ajouté des ministres « loyalistes de base » à son nouveau gouvernement de coalition – le cabinet « Sánchez III » – qui luttera pour résister à l’opposition farouche de la droite (PP/PPE) et du parti d’extrême droite Vox, qui s’efforcent tous deux de construire résistance contre Sánchez.
Sánchez (PSOE/S&D) a souligné lundi la grande qualité de ses ministres, qui devront lutter contre la résistance du PP, dont la majorité au Sénat pourrait retarder l’approbation de plusieurs lois et entraver le travail du nouveau gouvernement progressiste, EFE a rapporté.
Ils devront également faire face à la forte opposition de Vox, le troisième parti au Parlement avec 33 sièges, qui a annoncé qu’il poursuivrait en justice le « dictateur » Sánchez au sujet de la loi d’amnistie.
«(C’est) une équipe à haut profil politique pour une législature à haut profil politique. (Avec) des personnes capables de gérer, mais aussi de parvenir à des accords et de les expliquer publiquement », Sánchez stressé.
Lundi, Borja Sémper, vice-secrétaire à la culture du PP, a prévenu que le parti conservateur formerait une opposition « efficace » et « implacable » à Sánchez.
L’apartheid politique selon Podemos
La plateforme progressiste Sumar, sous la direction de Yolanda Díaz – qui sera l’une des vice-présidentes de Sánchez- a obtenu cinq portefeuilles importants, parmi lesquels la Culture pour l’eurodéputé et diplomate Ernest Urtasun et la Jeunesse pour l’eurodéputé Sira Rego.
Podemos s’est retrouvé sans ministère, même s’il avait espéré que l’ancienne ministre de l’Égalité, Irene Montero, reviendrait à ce poste.
Le poste convoité de Montero a été attribué à la socialiste Ana Redondo, une féministe connue et, surtout, une loyaliste de Sánchez.
Le porte-parole de Podemos, Pablo Fernández, a qualifié lundi de « grave erreur » le fait que « Pedro Sánchez et Yolanda Díaz aient expulsé Podemos (avec cinq sièges au Parlement) du gouvernement ». Cependant, le parti de gauche radicale n’a pas l’intention, du moins pour l’instant, de quitter la plateforme Sumar, a rapporté EFE.
Le PP a annoncé que son objectif était d’« internationaliser » le « problème catalan ». Mercredi 22 novembre, le Parlement européen, à l’initiative du PP (PPE), doit débattre de la « qualité » de l’État de droit en Espagne.
(Fernando Heller | EuroEFE.Euractiv.es)