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Alors que les migrants empruntent la route des Balkans vers l’Europe occidentale, les ONG tentent de retrouver la trace de ceux qui perdent la vie, mais de nombreuses pierres tombales restent anonymes.
La rivière Drina traverse les Balkans et constitue une grande partie de la frontière entre la Serbie et la Bosnie-Herzégovine.
Près de la ville de Loznica, du côté serbe de la frontière, entourée d’une forêt dense, la Drina est un obstacle inhospitalier que les migrants doivent franchir pour rejoindre une vie meilleure en Europe occidentale.
Pour de nombreux migrants voyageant le long de la route migratoire des Balkans occidentaux, ce fleuve long de 346 km signifierait non seulement la fin de leur voyage mais aussi la fin de leur vie.
« Le problème est que nous ne savons pas qui a été enterré », explique Milica Švabić, avocate de l’ONG KlikAktiv, qui explique que « toutes les tombes sont marquées comme inconnues et seule l’année du décès est indiquée ».
Le nombre exact de migrants noyés dans la Drina n’est pas connu, car les autorités ne tiennent pas de registres officiels.
Dans un cimetière de la ville de Loznica, dans l’ouest de la Serbie, se trouvent 12 tombes identiques. Ici, les décès de migrants sur la route des Balkans sont enregistrés par des militants locaux mais il est impossible d’obtenir une estimation précise. 400 décès ont été enregistrés depuis 2015.
Regardez le rapport complet dans le lecteur vidéo ci-dessus.