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La Sardaigne a plafonné le nombre de vacanciers qui peuvent visiter ses célèbres plages cet été.
L’île italienne de Sardaigne protège ses plages spectaculaires du surtourisme avec de multiples nouvelles restrictions, notamment des amendes pouvant aller jusqu’à 3 500 €.
Le littoral de l’île est réputé pour ses étendues de sable immaculées, y compris sa célèbre plage rose.
Mais son bord de mer souffre également du comportement irrespectueux des visiteurs et de la surpopulation.
Pour protéger le littoral, l’île a plafonné le nombre de visiteurs et introduit des frais sur certaines de ses plages les plus populaires.
Spiaggia Rosa : 3 500 € pour avoir volé du sable
Situé au large de la côte ouest de Italie, la Sardaigne possède certaines des plus belles plages du pays. L’île est fréquemment élue comme l’un des meilleurs endroits d’Italie pour un vacances au bord de la mer.
Mais la popularité du littoral de l’île a commencé à poser des problèmes. Cet été, plusieurs nouvelles réglementations et limitations ont été introduites sur les plages de l’île pour protéger l’environnement naturel.
La Spiaggia Rosa, située sur l’île périphérique de Budelli, attire chaque jour des milliers de touristes en été pour admirer son magnifique sable rose. Mais les visiteurs ne peuvent voir les sables pittoresques qu’à distance sur un bateau.
En raison de la renommée de la plage, elle a été fermée aux visiteurs depuis le milieu des années 1990 après que son sable convoité a commencé à disparaître. Le gouvernement local a pris des mesures après qu’il a été découvert que des touristes faisaient passer en contrebande des kilos d’une valeur de souvenirs.
Cette année, les autorités locales ont annoncé que marcher sur la plage vous infligera une amende de 500 € tandis que toute personne surprise en train de voler le sable devra payer jusqu’à 3 500 €.
La Maddalena, Cala Coticcio et Cala Brigantina plafonnent le nombre de visiteurs
Dans l’archipel de La Maddalena, deux plages ont désormais un accès restreint. L’année dernière, seules 60 personnes par jour pouvaient visiter Cala Coticcio et Cala Brigantina pendant l’été.
Les voyageurs devaient réserver leur créneau en ligne et payer 3 € par personne pour accéder aux plages avec un guide.
La limite de visiteurs et les frais d’accès n’ont pas encore été annoncés cette année, mais les visites devront probablement être réservées par contacter directement un guide local comme l’année dernière.
Plusieurs autres plages autour de l’île ne permettent désormais l’accès qu’à un nombre limité de visiteurs. Au nord, Cala Brandinchi et Lu Impostu limiteront respectivement les effectifs à 1 447 et 3 352 entre le 15 juin et le 15 septembre. À Cala Mariolu, 700 personnes sont autorisées par jour.
À Villasimius, dans le sud-est, les amateurs de plage se rendant à Punta Molentis, Riu Trottu et Portu Sa Ruxi doivent payer pour accéder au parking. Chaque véhicule coûte 10 € avec 1 € supplémentaire pour chaque passager. Les cyclistes et les piétons paient 3 €.
Le personnel est posté aux parkings et aux points d’accès à la plage pour vérifier les billets.
Les serviettes de plage interdites sur la plage de Pelosa
Sur la côte ouest, la célèbre plage Pelosa de Stintino n’est désormais ouverte qu’à un nombre limité de visiteurs par jour. Un maximum de 1 500 personnes sont autorisées à accéder quotidiennement à la plage. L’année dernière, le nombre de visiteurs a atteint jusqu’à 4 000 certains jours.
Ceux qui souhaitent bronzer sur la plage de Pelosa doivent réserver un billet à 3,50 €. Les règlements stipulent également que les visiteurs doivent apporter des nattes au lieu de serviettes de plage, qui emprisonnent moins de sable.
Ogliastra : Limites de temps pour les amateurs de plage
À Ogliastra, sur la côte est, 300 personnes par jour sont autorisées sur Cala Birìala et les baigneurs qui arrivent en bateau ne peuvent rester que 90 minutes.
De même, les visiteurs de Cala dei Gabbiani sont également plafonnés à 300. L’année dernière, les visiteurs devaient partir après deux heures.
Comment l’Italie réprime-t-elle le surtourisme ?
La Sardaigne rejoint plusieurs autres destinations touristiques populaires qui ont introduit des restrictions en raison de la surpopulation.
Venise réfléchit encore à système de réservation et frais pour visiter la ville. Dans la ville de Portofino, sur la Riviera italienne, les touristes qui s’attardent trop longtemps et bloquent les rues s’exposent à des amendes de 270 €.