Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words
L’ancienne vice-présidente du Parlement européen n’est plus obligée de porter un bracelet électronique, alors qu’elle continue de clamer son innocence dans le scandale de corruption qui a secoué la capitale de l’UE.
Les déplacements de l’ancienne vice-présidente du Parlement Eva Kaili ne nécessitent plus de surveillance 24 heures sur 24, a indiqué jeudi le parquet fédéral belge.
Kaili est assignée à résidence depuis sa sortie de prison le mois dernier.
« Cette libération est soumise aux conditions habituelles dans de tels cas », indique le communiqué. Interrogé sur les nouvelles conditions imposées à Kaili et sur sa possibilité de voyager à l’étranger, un porte-parole du bureau du procureur a déclaré qu’il ne pouvait pas donner de détails.
Kaili est le principal suspect au cœur du scandale de corruption qui a secoué l’organe législatif de l’Union européenne l’année dernière alors que l’enquête sur l’affaire de l’argent contre des faveurs politiques se poursuit.
La législatrice grecque a été démise de ses fonctions de vice-présidente après avoir été arrêtée fin 2022 pour corruption, blanchiment d’argent et appartenance à une organisation criminelle. Elle nie tout acte répréhensible, ont déclaré ses avocats.
Les procureurs belges soupçonnent Kaili de faire partie de plusieurs personnes qui auraient été payées par le Qatar et le Maroc pour influencer la prise de décision lors de l’assemblée. Les deux pays nient les allégations.
Le scandale a attiré l’attention du public le 9 décembre après que la police a lancé plus de 20 raids, principalement en Belgique mais aussi en Italie. Des centaines de milliers d’euros ont été retrouvés dans une maison et dans une valise d’un hôtel à Bruxelles.