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Le chancelier allemand Olaf Scholz se serait opposé à l’idée que la présidente sortante de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, se présente au poste de secrétaire général de l’OTAN, selon les médias allemands.
« Scholz était catégoriquement opposé à ce que von der Leyen devienne chef de l’OTAN », indique le rapport allemand Welt am Sonntag, faisant référence à des sources connaissant les discussions.
C’était après que le secrétaire d’État américain Anthony Blinken aurait suggéré von der Leyen pour le poste le plus élevé, et que le président américain Joe Biden aurait demandé à Scholz son avis sur la question, selon le rapport.
Selon les sources citées dans le rapport, Scholz pensait que le poste le plus élevé de l’OTAN aurait été un poste trop puissant pour être confié à un membre de son plus grand parti d’opposition en Allemagne, le Démocrate-chrétien (CDU).
En outre, il aurait craint que l’opposition radicale de von der Leyen contre la Russie puisse nuire à l’OTAN après une éventuelle fin de la guerre de Moscou contre l’Ukraine, indique le rapport.
L’actuel secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, devrait être remplacé d’ici l’automne, et les discussions sur un digne successeur sont en cours avant le sommet anniversaire de l’alliance militaire occidentale en juillet. Le Premier ministre néerlandais sortant, Mark Rutte, est actuellement considéré comme l’un des principaux candidats.
Pendant ce temps, von der Leyen n’a pas encore déclaré sa candidature pour un second mandat à la Commission européenne, mais ses proches ont souligné qu’elle ne serait pas disponible pour le poste à l’OTAN.
Samedi, von der Leyen a annoncé lors de la Conférence de Munich sur la sécurité que, si elle était réélue, elle viserait à ce que la prochaine Commission européenne comprenne un portefeuille dédié à la défense.
« Si je devais être présidente de la prochaine Commission européenne, j’aurais un commissaire à la défense », a-t-elle déclaré au public munichois.
(Kjeld Neubert | Euractiv.de)