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Le chancelier allemand Olaf Scholz recevra la semaine prochaine les dirigeants de cinq pays d’Asie centrale, a annoncé Berlin vendredi 22 septembre, dans le but de renforcer les liens alors que l’influence de la Russie dans la région diminue.
Les présidents du Kazakhstan, du Kirghizistan, de l’Ouzbékistan, du Turkménistan et du Tadjikistan s’entretiendront vendredi prochain avec Scholz à Berlin, a déclaré le porte-parole du gouvernement Steffen Hebestreit.
Il s’agira de la première réunion conjointe de ce type avec un pays de l’UE, a ajouté le porte-parole.
« Les discussions devraient porter sur toute une série de sujets, tels que les relations bilatérales, les questions économiques et la coopération en matière de politique énergétique », a-t-il déclaré.
Le président du Kazakhstan, riche en énergie, Kassym Jomart-Tokayev, tiendra jeudi une conférence de presse conjointe avec Scholz.
L’invasion de l’Ukraine par Moscou a incité des puissances mondiales comme la Chine et l’Union européenne à chercher à jouer un rôle plus important en Asie centrale, à un moment où de nombreux habitants de la région remettent en question leurs liens de longue date avec la Russie.
Le président chinois Xi Jinping a accueilli les cinq dirigeants pour un sommet clé en mai, tandis que le président américain Joe Biden a tenu cette semaine sa première réunion avec le « C5 » en marge de l’Assemblée générale de l’ONU à New York.
Le président du Conseil européen, Charles Michel, s’est rendu à deux reprises dans la région de l’Asie centrale depuis le début de la guerre en Ukraine l’année dernière.
L’Allemagne s’intéresse également à cette région riche en énergie, car Berlin cherche également des sources d’énergie alternatives après l’épuisement de ses approvisionnements en provenance de Russie.
La Russie reste la principale puissance régionale et les pays d’Asie centrale ont été critiqués pour avoir aidé Moscou à contourner les sanctions occidentales, ce qu’ils nient.
Secoués par la guerre en Ukraine, les cinq pays ex-soviétiques ont récemment intensifié leurs efforts pour résoudre les conflits et resserrer leurs alliances régionales.
La région reste largement étroitement contrôlée et instable, avec des affrontements meurtriers au Kirghizistan et au Tadjikistan ainsi que des soulèvements réprimés au Kazakhstan et en Ouzbékistan ces dernières années.