Customize this title in frenchSelon une étude, trois femmes sur quatre ne sont pas à l’aise pour parler de politique en ligne par crainte d’être trollées.

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  • Les femmes sont beaucoup plus susceptibles que les hommes d’être la cible de menaces et de harcèlement

Trois femmes sur quatre se sentent mal à l’aise d’exprimer leurs opinions politiques en ligne, de peur d’être trollées.

Selon l’étude, elles sont également beaucoup plus susceptibles que les hommes d’être la cible de menaces et de harcèlement, et les femmes sont 96 % plus susceptibles de se sentir déprimées après avoir été en ligne.

Les résultats sont basés sur une enquête menée auprès de 2 000 adultes par l’Institut Alan Turing, la plateforme britannique pour la science des données et l’intelligence artificielle.

La co-auteure, le Dr Florence Enoch, a déclaré : « Prendre des mesures pour garantir que tous les membres de la société se sentent en sécurité et capables de participer à l’espace en ligne est essentiel pour une société égalitaire.

« C’est plus important que jamais alors qu’environ la moitié de la population mondiale doit voter [in national elections] cette année et de nombreux discours seront exprimés en ligne.

Trois femmes sur quatre se sentent mal à l’aise d’exprimer leurs opinions politiques en ligne, de peur d’être trollées (image de stock)

« Pour que les femmes puissent s’engager pleinement en politique, elles doivent se sentir en sécurité dans les espaces hors ligne et en ligne. »

L’analyse a révélé que seulement 23 pour cent des femmes se sentaient à l’aise pour exprimer leurs opinions politiques sur Internet, contre 40 pour cent des utilisateurs masculins.

En plus d’être plus susceptibles que les hommes de se sentir tristes ou déprimées après avoir été en ligne, elles étaient également 47 % plus susceptibles de souffrir de troubles mentaux et physiques, tels que l’insomnie ou des maux de tête.

L’institut a découvert que les femmes déclarent utiliser des outils de sécurité – tels que la désactivation du partage de position et le passage de leurs comptes en « privé » – dans une plus grande mesure que les hommes.

Le Dr Jonathan Bright, responsable de la sécurité en ligne à l’institut, a déclaré : « Cette recherche constitue une première étape cruciale pour déterminer le fardeau psychologique que subissent les différents sexes en réponse à des contenus en ligne préjudiciables.

« Ce travail fournit des informations précieuses sur les personnes les plus à risque, sur les destinataires du soutien et sur les interventions nécessaires pour garantir que tous les membres de la société se sentent en sécurité. »

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