Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words
Le marché boursier indien a connu un ralentissement important mercredi, le Sensex ayant chuté de plus de 900 points et passant sous le niveau crucial de 73 000.
Cette forte baisse s’est reflétée dans le Nifty, qui a également connu une baisse notable en dessous de 22 000.
Cependant, le plus gros des turbulences du marché a été ressenti sur le segment des petites actions, l’indice des petites capitalisations ayant connu sa pire chute en un jour depuis décembre 2022, perdant plus de 5 % de sa valeur.
Les valeurs moyennes et microcapitalisées ont emboîté le pas, perdant respectivement 4 pour cent et 6 pour cent.
L’impact collectif a vu un incroyable crore de 14 lakh ₹ être effacé de la capitalisation boursière de toutes les actions cotées à l’ESB, qui s’élève désormais à 372 crore lakh ₹.
Les analystes n’ont pas tardé à souligner que le récent ralentissement du marché boursier défie la configuration du commerce mondial, en particulier avec le S&P500 qui a atteint un niveau record du jour au lendemain.
Avec 3 milliards de dollars investis jusqu’à présent ce mois-ci, les investisseurs institutionnels étrangers (FII) ont également démontré leur confiance dans le marché indien.
Par conséquent, la cause profonde des turbulences sur les marchés semble être de nature davantage nationale, motivée par des facteurs internes plutôt que par des influences externes.
Le récent test de résistance de Sebi pourrait être identifié comme un élément déclencheur important du krach boursier, selon Madhabi Puri Buch, président du régulateur du marché.
L’avertissement de Buch concernant la présence d’écume dans certains segments du marché, notamment dans les petites et moyennes capitalisations, a suscité des inquiétudes parmi les investisseurs.
Cette position prudente de Sebi a incité les acteurs du marché à agir, le Fonds commun de placement prudentiel ICICI suspendant temporairement les nouvelles souscriptions via le mode forfaitaire aux fonds de petite et moyenne capitalisation.
En outre, des préoccupations en matière de valorisation couvent depuis un certain temps dans le secteur des petites capitalisations, les valorisations excessives étant motivées par l’exubérance irrationnelle des investisseurs particuliers.
La déclaration de Sebi selon laquelle les paramètres de valorisation sont déconnectés des fondamentaux a souligné ces appréhensions, conduisant à une phase corrective du marché.
De plus, selon un rapport de l’Economic Times, la récente répression menée par la Direction de l’application des lois (ED) contre l’escroquerie de l’application de paris illégale Mahadev Online Book a mis au jour un lien avec la bulle boursière, exacerbant encore davantage la nervosité des investisseurs.
En réponse au ralentissement du marché et aux avertissements réglementaires, les courtiers ont commencé à conseiller aux traders de liquider leurs paris à effet de levier sur les moyennes et petites capitalisations.
Cette décision vise à atténuer les risques dans un contexte de volatilité accrue du marché.
De plus, à l’approche de la fin de l’exercice, les investisseurs se livrent à des activités de comptabilisation des bénéfices et de récolte des pertes afin d’optimiser leurs portefeuilles à des fins fiscales.
Ces manœuvres stratégiques contribuent au remaniement en cours des positions d’investissement, ajoutant aux turbulences des marchés.
D’un point de vue technique, le sentiment du marché reste baissier, les indicateurs suggérant une poursuite de la tendance baissière.
La formation par Nifty d’une bougie Doji à longues jambes, associée à la persistance de la configuration baissière de l’étoile du soir, reflète l’incertitude qui prévaut parmi les investisseurs.
De plus, sur le front des produits dérivés, des sentiments baissiers ont été observés, les secteurs connaissant soit des activités de constitution à court terme, soit des activités de dénouement longues.