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Les arrestations visaient un réseau qui aurait utilisé Telegram pour envoyer de l’argent en Syrie via des intermédiaires.
Sept personnes soupçonnées d’apporter un soutien financier au groupe Etat islamique en Syrie ont été arrêtées en Allemagne, a annoncé le parquet fédéral. annoncé aujourd’hui.
Les sept individus, quatre femmes et trois hommes de nationalité allemande, kosovare et marocaine, ont été appréhendés dans plusieurs régions de l’ouest de l’Allemagne, selon le parquet.
Des perquisitions ont également été effectuées dans 19 propriétés en Allemagne et une aux Pays-Bas.
Les personnes arrêtées font partie d’un réseau opérant via l’application de messagerie Telegram, ont déclaré les procureurs.
« Des intermédiaires financiers étaient impliqués dans le réseau, collectant des fonds et fournissant des comptes ou des boîtes de dons numériques », ont-ils affirmé. « Ceux-ci ont ensuite été utilisés pour transférer les fonds collectés aux membres de l’EI en Syrie ou à des intermédiaires nommés par eux. »
« Les paiements ont servi à renforcer l’EI. L’argent a notamment servi à améliorer la situation d’approvisionnement des membres de l’organisation emprisonnés dans les camps d’Al-Hol et de Roj, au nord de la Syrie. »
Au total, au moins 65 000 € ont été transférés, ont indiqué les procureurs. Une grande partie de cette somme a été utilisée « pour améliorer l’approvisionnement des personnes détenues ».
Cependant, ils ont également affirmé que « dans certains cas, l’argent a été utilisé pour permettre aux détenus de s’évader ou de sortir clandestinement des camps ».
Rattrapé
Le camp d’Al-Hol est utilisé depuis plusieurs années pour héberger des dizaines de milliers de personnes provenant de zones reprises à l’EI par les Forces démocratiques syriennes, une coalition de groupes armés qui combattent à la fois le groupe terroriste et le gouvernement syrien de Bachar al-Assad.
Des dizaines de réfugiés et de citoyens déplacés de Syrie et d’Irak se trouvent dans le camp, mais il a été utilisé pour interpeller en masse des personnes soupçonnées d’être impliquées dans des activités terroristes.
On estime que 11 000 de ses quelque 57 000 internés sont des ressortissants étrangers.
Selon Médecins Sans Frontièresles conditions dans le camp sont désastreuses en raison du surpeuplement et des mauvais traitements infligés aux personnes, enfreignant peut-être le droit international.
Les suspects arrêtés par les autorités en Europe vont maintenant être présentés à un juge en vue d’une éventuelle détention provisoire.