Customize this title in frenchSoudan du Sud. Un cessez-le-feu de sept jours au Soudan est « en principe » accepté

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Incendie près de Khartoum

Même avant les violences les plus récentes, le Soudan était déjà fortement dépendant de l’aide humanitaire internationale.

(Photo : via REUTERS)

Genève, Khartoum Selon les médiateurs sud-soudanais, les parties en conflit au Soudan ont « en principe » convenu d’un cessez-le-feu de sept jours. Le chef de l’armée Abdel Fattah al-Burhan et le chef de la milice RSF, le général Mohamed Hamdan Dagalo, ont convenu que les armes devraient être réduites au silence d’ici le 4 mai, a annoncé mardi le ministère sud-soudanais des Affaires étrangères.

En conséquence, le président sud-soudanais Salva Kiir a souligné l’importance d’un cessez-le-feu plus long et de la nomination de médiateurs pour les pourparlers de paix. Les deux parties ont convenu de nommer ces personnes. Le Soudan du Sud a accepté de jouer un rôle de médiateur et d’accueillir les pourparlers.

Au moins 334 000 personnes ont été déplacées à l’intérieur du Soudan depuis que les combats ont éclaté à la mi-avril. L’Organisation des Nations Unies pour les migrations (OIM) a fait rapport mardi à Genève. La plupart d’entre eux, environ 240 000 personnes, sont déplacés dans les régions du sud et de l’ouest du Darfour, a déclaré un porte-parole de l’OIM. Même avant le conflit, il y avait 3,7 millions de personnes déplacées au Soudan à la suite des combats précédents.

Le nombre de réfugiés cherchant refuge dans les pays voisins a dépassé les 100 000, selon le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR). Beaucoup arriveraient au Tchad, au Soudan du Sud et en Égypte. Parmi eux se trouvent des Soudanais, mais aussi des réfugiés d’autres pays qui ont trouvé refuge au Soudan.

Les plans du HCR se basent sur le fait que plus de 800 000 personnes pourraient fuir si les combats se poursuivent. « Nous espérons que nous n’en arriverons pas là », a écrit lundi le chef du HCR, Filippo Grandi, sur Twitter.

Avant même que les conflits bénéficiaires de l’aide humanitaire

Même avant les violences les plus récentes, le Soudan était déjà fortement dépendant de l’aide humanitaire internationale. L’appel aux dons de l’ONU pour 2023 d’un montant de 1,75 milliard de dollars américains (environ 1,6 milliard d’euros) n’était couvert qu’à 14 % début mai. Les organisations de l’ONU avaient un besoin urgent d’argent pour pouvoir fournir de l’aide, a déclaré un porte-parole du bureau des secours d’urgence de l’ONU, OCHA.

Six conteneurs de l’OMS arrivés à Port-Soudan par bateau ont été vidés mardi et le matériel a été transféré dans des entrepôts, a déclaré un porte-parole de l’OMS à Genève. L’ONU avait déjà beaucoup de matériel d’aide au Soudan avant le conflit et tous les camps n’avaient pas été pillés, a déclaré le porte-parole d’OCHA. Le matériel sera distribué dès que la situation sécuritaire le permettra.

Le ministère de la Santé fait état de 530 morts dans les combats

En fin de semaine dernière, le ministère de la Santé faisait état d’environ 530 morts et d’un bon 4 600 blessés dans les combats. Dans le chaos des combats, il est cependant difficile pour les autorités de garder une vue d’ensemble. Ils supposent que les chiffres réels sont nettement plus élevés.

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