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Ramadan, qui est le petit-fils du fondateur des Frères musulmans égyptiens, recevra 154 000 € d’indemnisation de l’Etat de Genève.
Le célèbre érudit islamique Tariq Ramadan a été acquitté mercredi de viol et de coercition sexuelle par un tribunal genevois, qui a jugé qu’il n’y avait aucune preuve contre lui.
Il recevra également environ 151 000 francs suisses (environ 154 400 €) de dédommagement de l’Etat de Genève.
La plaignante a immédiatement annoncé qu’elle ferait appel. Trois ans de prison ont été suggérés la semaine dernière par le parquet genevois.
Lorsque le verdict a été annoncé dans une salle remplie de journalistes, le chercheur suisse de 60 ans a souri et a été étreint par l’une de ses filles. Sur le banc des parties civiles, le plaignant, aujourd’hui âgé de 57 ans, a quitté la salle avant la fin de la lecture du verdict.
Ramadan était jugé pour la première fois pour viol, mais il fait face à un procès en France pour des infractions similaires.
Son procès tant attendu a révélé deux versions opposées des événements.
M. Ramadan, figure charismatique et controversée de l’islam européen, nie tout acte répréhensible et se dit victime d’un « piège ».
La plaignante, « Brigitte », qui a choisi ce pseudonyme pour se protéger des menaces, affirme que M. Ramadan l’a soumise à des actes sexuels brutaux accompagnés de coups et d’insultes dans la chambre d’un hôtel genevois où il séjournait la nuit du 28 octobre 2008.
Lors des trois jours d’audience la semaine dernière à Genève, un écran les a séparés pour qu’elle n’ait pas à le voir.
« Brigitte » a porté plainte dix ans après les événements, en 2018. Elle s’est expliquée encouragée par le fait que d’autres femmes avaient fait de même contre Tariq Ramadan en France.