Customize this title in frenchTotalEnergies était le troisième acteur des ventes de GNL en Russie l’an dernier, selon une ONG

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words

Les géants de l’énergie TotalEnergies et Shell ont défendu dimanche leurs activités liées à la Russie après un rapport critique sur leur commerce de gaz naturel malgré la guerre en Ukraine.

Publié le:

Le groupe de campagne Global Witness a déclaré que TotalEnergies était le troisième acteur du gaz naturel liquéfié (GNL) russe l’année dernière et Shell le quatrième, derrière deux sociétés russes.

Le rapport s’est concentré sur le britannique Shell, après que Global Witness ait déclaré qu’il avait précédemment examiné TotalEnergies en France.

« Les exportations russes de GNL contribuent à financer la guerre du pays en Ukraine et en 2022, elles valaient environ 21 milliards de dollars », a-t-il déclaré.

« Peu d’entreprises ont aidé ce commerce plus que Shell, et Global Witness estime que Shell a gagné des centaines de millions en vendant du GNL russe l’année dernière.

« Pourtant, malgré les crimes de guerre que ce commerce aide à financer, il est légal. Shell, le Royaume-Uni et l’UE devraient immédiatement y mettre fin. »

Les deux sociétés ont déclaré qu’elles étaient liées à des contrats en cours malgré le retrait des partenariats russes après l’invasion de l’Ukraine l’année dernière.

« Shell a cessé d’acheter du GNL russe sur le marché au comptant, mais a encore des engagements contractuels à long terme », a déclaré un porte-parole de Shell, insistant sur le fait que toutes les lois et restrictions de sanctions étaient respectées.

« Il y a un dilemme entre faire pression sur le gouvernement russe pour ses atrocités en Ukraine et assurer un approvisionnement énergétique stable et sûr », a-t-il déclaré.

« C’est aux gouvernements de décider des compromis incroyablement difficiles qui doivent être faits. »

A Paris, TotalEnergies a souligné « son devoir de contribuer à la sécurité d’approvisionnement en gaz de l’Europe à partir de l’usine Yamal LNG [in Siberia] dans le cadre de contrats à long terme qu’elle doit honorer tant que les gouvernements européens n’imposeront pas de sanctions contre le gaz russe ».

(AFP)

Source link -57