Make this article seo compatible, Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words
- Trump s’est retourné contre son fidèle partisan Vivek Ramaswamy pour la première fois avant les caucus de l’Iowa.
- Trump l’a accusé de « trucs de campagne trompeurs » et a déclaré qu’il n’était « pas MAGA ».
- Ramaswamy a répondu en disant qu’il ne critiquerait pas Trump.
L’ancien président Donald Trump s’est pour la première fois retourné contre son compatriote candidat républicain à la présidentielle, Vivek Ramaswamy, son fidèle partisan.
« Vivek n’est pas MAGA », a écrit Trump vendredi dans un article de Truth Social.
« Vivek a commencé sa campagne en tant que grand partisan, « le meilleur président depuis des générations », etc. Malheureusement, tout ce qu’il fait maintenant, c’est dissimuler son soutien sous la forme de trucs de campagne trompeurs. Très sournois, mais voter pour Vivek est un vote pour « l’autre côté » – ne vous laissez pas tromper par cela », a écrit Trump.
Ramaswamy a toujours été fermement fidèle à l’ancien président. Il a défendu Trump à plusieurs reprises et a critiqué les autres candidats républicains pour ne pas avoir suffisamment soutenu l’ancien président.
Ramaswamy a répondu aux paroles de Trump dans un article sur X, disant qu’il ne croit pas que les « tirs amis » soient utiles.
« Donald Trump a été le plus grand président du 21e siècle et je ne vais pas le critiquer en réponse à cette attaque tardive », a-t-il déclaré.
Ramaswamy a justifié sa candidature contre Trump en affirmant que « le système » ne permettrait pas à l’ancien président d’accéder à la Maison Blanche.
Une heure avant le poste de Trump, son conseiller principal Chris LaCivita a décrit Ramaswamy comme une « fraude » dans un article sur X.
La dernière attaque de Trump intervient avant la tenue des caucus présidentiels républicains de l’Iowa lundi.
Trump domine actuellement dans les sondages, avec 52,8 % des voix, contre 7,6 % pour Ramaswamy, selon Le QG de la Colline/Decision-Desk moyenne des sondages.
Les deux autres candidats, Nikki Haley et Ron DeSantis, disposent respectivement de 17,9 % et 15,5 %.
La décision de Trump de se lancer dans l’attaque pourrait être un calcul visant à empêcher Ramaswamy de retirer tout soutien à sa campagne, même minime.