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Les sauveteurs ont annoncé jeudi 22 juin qu’un robot sous-marin fouillant près de l’épave du Titanic avait découvert un « champ de débris », alors que les efforts se poursuivaient pour localiser un submersible manquant transportant cinq personnes.
Malgré les inquiétudes concernant l’approvisionnement en oxygène du navire, la mission multinationale reste déterminée à retrouver l’équipage vivant. Les garde-côtes américains ont confirmé que des experts au sein du commandement unifié évaluaient le champ de débris nouvellement découvert, situé près du Titanic, détecté par un véhicule télécommandé (ROV). Plus de détails sur le champ de débris n’ont pas été fournis, mais un point de presse est prévu à Boston.
« Des experts au sein du commandement unifié évaluent les informations », a déclaré la Garde côtière américaine dans un tweet.
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Utilisation de robots supplémentaires
Pour intensifier la recherche du sous-marin Titan manquant, deux robots supplémentaires ont été déployés dans la vaste étendue de l’Atlantique Nord, s’étendant de la surface de l’océan à une profondeur de plus de deux milles (près de quatre kilomètres). On estime que le sous-marin transporte des réserves d’air d’urgence jusqu’à 96 heures, indiquant un potentiel d’épuisement de l’oxygène dans les premières heures de jeudi.
Cependant, le contre-amiral John Mauger de la Garde côtière américaine a souligné leur engagement inébranlable dans la recherche, compte tenu à la fois des limites techniques et de la résilience de l’équipage. Des moyens et des experts ont été mobilisés et le sonar a détecté des bruits sous-marins non identifiés.
Les organisateurs de la réponse, y compris des avions militaires américains et canadiens, des navires de la garde côtière et des robots téléguidés, ont concentré leurs efforts sur le voisinage des sons détectés.
Ces bruits, ressemblant à des « cognements », ont fait naître l’espoir que l’équipage soit toujours en vie, bien que leur source reste non confirmée. Le navire de recherche français Atalante a déployé un robot sans pilote, le Victor 6000, capable de rechercher des profondeurs allant jusqu’à 6 000 mètres. Un autre robot, dépêché par le navire canadien Horizon Arctic, a déjà commencé ses recherches au fond de l’océan. Le personnel médical et une chambre de décompression sont en route vers la zone pour fournir un soutien.
Le submersible Titan de 21 pieds a entamé sa descente dimanche mais a perdu la communication avec son vaisseau-mère à peine deux heures après le début du voyage. Parmi les passagers à bord figurent le milliardaire britannique Hamish Harding, les citoyens pakistano-britanniques Shahzada Dawood et son fils Suleman, le PDG d’OceanGate Expeditions Stockton Rush et l’opérateur de sous-marins français Paul-Henri Nargeolet.
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Des efforts de recherche étendus couvrant 10 000 milles carrés d’eau de surface ont été menés, ce qui équivaut à la taille du Massachusetts. Récupérer le submersible à de telles profondeurs présente un défi important, mais la Marine a déployé du matériel de levage et du personnel spécialisés pour l’opération.
Le Titanic, qui a coulé en 1912 lors de son voyage inaugural, se trouve à environ 400 milles au large de Terre-Neuve, au Canada, à plus de deux milles sous la surface. Le site historique attire les experts nautiques et les touristes sous-marins depuis sa découverte en 1985. L’extrême profondeur exerce une pression immense, mesurant 400 fois celle du niveau de la mer. La complexité d’envoyer un petit navire à de telles profondeurs souligne les défis techniques impliqués. Des inquiétudes concernant la conception du submersible ont été soulevées lors d’un précédent procès, soulignant la nature expérimentale du Titan.