Customize this title in frenchUn couple français n’a pas d’argent à payer dans une affaire de masques africains valant des millions, selon un tribunal

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Le vieux couple français a vendu un masque africain « extrêmement rare » pour 150 euros, alors qu’il valait en réalité des millions. Un tribunal a jugé que leur propre imprudence était à blâmer.

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Un couple français qui a vendu un masque africain « extrêmement rare » pour 150 €, pour ensuite découvrir qu’il valait des millions, a vu sa requête en annulation de la vente initiale rejetée par un tribunal du sud de la France.

Le couple, âgé de 80 ans et retraité, a fait valoir qu’il y avait eu une « erreur d’authentification » et que l’acheteur du masque, un brocanteur d’une petite ville, savait combien valait réellement l’objet lorsqu’il l’a acheté en 2021.

Mais le tribunal a rejeté leurs demandes, affirmant que le couple n’avait fait aucune tentative pour faire évaluer le masque avant de le vendre.

« Leur négligence et leur imprudence caractérisent le caractère inexcusable de leur erreur. Par conséquent, leur demande d’annulation de la vente sur ce fondement est rejetée », ont indiqué les juges dans leur décision.

Le tribunal a également estimé que le marchand d’antiquités, qui n’est pas un expert en art africain, ne les avait pas trompés sur le prix et qu’aucune somme d’argent n’était due au couple.

Pour preuve de son honnêteté, le marchand avait initialement proposé de verser au couple la valeur de 300 000 €, prix de départ du masque aux enchères. Mais les enfants du couple ont refusé et ont plutôt choisi de poursuivre le concessionnaire en justice pour obtenir le montant total.

Les commissaires-priseurs ont décrit l’objet comme un « masque extrêmement rare du XIXe siècle, appartenant à une société secrète du peuple Fang du Gabon », un groupe ethnique bantou.

On pense qu’il n’existe encore qu’une dizaine de masques de ce type. Une maison de vente aux enchères a déclaré aux médias français que ce type de masque était « encore plus rare qu’un tableau de Léonard de Vinci ».

Le couple, âgé de 80 ans et retraité, a vendu le masque et d’autres objets trouvés dans leur résidence secondaire dans le Gard, dans le sud de la France. La plupart des objets, y compris le masque, appartenaient à un ancêtre qui était autrefois gouverneur colonial en Afrique.

Leur avocat a déclaré que ses clients étaient stupéfaits par le rejet du tribunal et envisageaient de faire appel de la décision.

Le tribunal a également rejeté une deuxième requête du gouvernement gabonais visant à annuler la vente et à restituer le masque à son pays d’origine, estimant qu’il n’y avait pas suffisamment d’informations sur la manière dont le masque avait atterri en France pour statuer en leur faveur.

Dès l’ouverture du procès d’Alès, deux avocats représentant le gouvernement de transition du Gabon avaient déposé une requête pour « obtenir l’annulation successive de la vente de ce masque, son rapatriement et la consignation des fonds ».

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