Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words
Un faux policier a imprimé une carte d’identité de la police sur Internet et a acheté un étui à pistolet chez Spotlight avant de menacer deux travailleuses du sexe de lui payer 8 000 $ en espèces et d’avoir des relations sexuelles avec lui.
Shivan Suresh Agravat a plaidé coupable mercredi de viol et de tromperie, un jour seulement après le début de son procès devant le tribunal de district de SA.
Armé d’un pistolet à gel, l’homme de 35 ans est entré dans une chambre d’hôtel d’Adélaïde où logeaient les deux jeunes femmes récemment arrivées en Australie.
Il les a convaincus que ce qu’ils faisaient était illégal et qu’ils iraient en prison s’ils ne le payaient pas.
« Il les avait trompés en leur versant de l’argent sous prétexte qu’il était un agent de l’AFP ayant le pouvoir de les arrêter », a déclaré mardi le procureur Patrick Mulvihill au tribunal.
« Il n’était pas une telle chose et n’avait pas un tel pouvoir. »
Après avoir reçu l’argent, Agravat a lancé un nouvel ultimatum aux femmes : l’une d’elles devait avoir des relations sexuelles avec lui, sinon elles iraient toutes les deux en prison.
« La victime l’a fait parce qu’elle avait peur d’être arrêtée, d’aller en prison ou d’être blessée par l’accusé », a expliqué Mulvihill.
« C’est de cela qu’il s’agit dans cette affaire. C’était un viol.
« Espérer qu’un acte terrifiant prenne fin n’est pas un consentement. »
De retour chez lui, Agravat a déclaré à sa femme qu’il avait été violé par les femmes qui le maintenaient au sol et étalaient son sperme sur leur corps, a appris le jury.
« Nous disons que c’est totalement absurde, totalement fantaisiste et faux », a déclaré Mulvihill.
Le plaidoyer surprise d’Agravat, alors qu’il avait fermement clamé son innocence depuis son arrestation en mars 2020, a stupéfié le juge Paul Muscat.
« Le dossier à charge contre vous était accablant », lui a dit le juge.
« Vous l’avez compris maintenant. Vous auriez dû le réaliser il y a longtemps.
« Ce travail ne me surprend jamais. Juste au moment où vous pensez que quelque chose va aller dans un sens, cela peut tourner et aller dans une autre direction. »
Agravat a été placé en détention, malgré les demandes de son avocat demandant qu’il soit autorisé à rester sous caution pour lui donner la possibilité de mettre de l’ordre dans ses affaires, car il est un ressortissant étranger et sera probablement expulsé à la fin de sa peine de prison.
Il reviendra au tribunal pour une audience de détermination de la peine en décembre.