Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words
L’homme de 55 ans, qui a travaillé et vécu à Shanghai, a une carrière sur les réseaux sociaux en tant que spécialiste des communications, de la technologie et des affaires.
La police a déclaré que Csergo aurait remis des informations sur les Forces de défense australiennes ainsi que sur les arrangements économiques et de sécurité nationale.
Il est également allégué qu’il a été contacté sur les réseaux sociaux par un groupe agissant comme un groupe de réflexion.
La police a déclaré que deux individus appelés « Ken » et « Evelyn » avaient offert de l’argent à Csergo pour relayer l’information.
L’AFP pense que les deux travaillaient pour un service de renseignement étranger et entreprenaient des activités de collecte d’informations.
« Il est allégué que l’Australien a compilé un certain nombre de rapports pour les individus et a reçu un paiement pour ces rapports », a déclaré hier le commissaire adjoint de l’AFP, Krissy Barrett.
L’expert en sécurité internationale Greg Barton a déclaré que, s’il était prouvé, l’incident présumé serait un cas « classique » d’espionnage.
« Cela ressemble à un cas classique de toilettage (et) d’établissement de la confiance … dans l’espoir de décrocher de l’or avec quelqu’un qui n’est peut-être pas si important mais qui a des relations importantes », a déclaré l’expert en sécurité internationale Greg Barton.
Barrett a déclaré que les espions étrangers avaient peut-être contacté d’autres Australiens ou pourraient le faire à l’avenir.
« L’AFP pense que d’autres citoyens et résidents australiens ont peut-être été approchés par Ken et Evelyn », a-t-elle déclaré.
Csergo a comparu devant le tribunal local de Parramatta par liaison vidéo samedi matin.
Son affaire a été ajournée à lundi.
S’il est reconnu coupable, il encourt une peine maximale de 15 ans de prison.