Customize this title in frenchUn journaliste russe anti-guerre condamné à plus de huit ans de prison

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Marina Ovsiannikova, ancienne rédactrice en chef de la télévision d’État russe devenue critique du Kremlin, a été condamnée par contumace à huit ans et demi de prison par un tribunal de Moscou.

Le tribunal du district de Basmanny a déclaré Ovsiannikova coupable de diffusion de fausses informations sur l’armée russe, a rapporté mercredi l’agence de presse officielle TASS, citant le parquet de Moscou.

Les accusations concernaient la manifestation d’Ovsyannikova près du Kremlin en juillet 2022, où elle tenait une affiche disant que le président russe Vladimir Poutine « est un meurtrier » et que « ses soldats sont des fascistes ». La journaliste a été assignée à résidence avant son procès, mais a ensuite fui vers l’Europe avec sa fille, ce qui l’a placée sur la liste des personnes recherchées par le Kremlin.

Ovsyannikova a fait la une des journaux du monde entier pour la première fois en mars de l’année dernière lorsqu’elle a dénoncé la guerre de Moscou contre l’Ukraine lors d’une émission en direct à la télévision russe. L’ancien propagandiste du Kremlin a pris d’assaut le plateau du journal télévisé russe Vremya en brandissant une affiche sur laquelle on pouvait lire « Arrêtez la guerre » et « Ils vous mentent ».

Ovsiannikova a reçu une amende de 30 000 roubles (à l’époque, environ 250 euros) pour cette manifestation. Elle a fui la Russie et a travaillé pendant un certain temps pour le journal allemand Die Welt (qui appartient à la société mère de POLITICO, Axel Springer), avant de retourner dans le pays pour mener une bataille pour la garde de ses enfants.

Ovsyannikova a ensuite fui la Russie avec sa fille et, selon de récentes publications et rapports sur les réseaux sociaux, elle semble désormais vivre en France.



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