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L’ancien chancelier autrichien a été condamné à huit mois de prison avec sursis après avoir été reconnu coupable de fausses déclarations lors d’une enquête sur des allégations de corruption gouvernementale.
Après douze jours de délibérations, un tribunal de Vienne a rendu son verdict sur le procès de l’ancien chancelier autrichien Sebastian Kurz.
Il a été reconnu coupable de fausses déclarations lors d’une enquête parlementaire.
Le verdict du tribunal pénal de Vienne fait suite à un procès de quatre mois.
C’était la première fois depuis plus de 30 ans qu’un ancien chancelier autrichien était jugé.
Il a été condamné à huit mois de prison avec sursis.
Kurz, qui était autrefois salué comme un « enfant prodige » du Parti populaire autrichien, a démissionné en 2021 à la suite d’une enquête distincte pour corruption.
Les procureurs du procès, qui s’est ouvert en octobre, ont accusé l’homme de 37 ans d’avoir fait un faux témoignage en juin 2020 lors d’une enquête concernant son rôle dans la création d’une société holding nommée OeBAG.
Il a également été interrogé pour avoir fait de fausses déclarations dans le cadre de la même enquête visant à nommer son ancien proche confident Thomas Schmid à un poste de direction.
Selon l’Associated Press, une copie privée de l’acte d’accusation impliquait des messages texte incriminants sur le téléphone de Schmid.
Schmid a témoigné de manière approfondie en tant que principal témoin à charge dans cette affaire.
Kurz a nié ces allégations et a laissé entendre que l’affaire avait été influencée par la politique.
Sebastian Kurz est arrivé au pouvoir à l’âge de 31 ans avec un programme anti-immigration à la tête du Parti populaire.
Devenu chancelier en 2017, il a appelé à des élections anticipées après la démission de son vice-chancelier qui a été filmé en train de promettre des contrats gouvernementaux à un investisseur russe potentiel.
Kurz est revenu au pouvoir dans une coalition avec les Verts début 2020, mais a de nouveau démissionné en 2021 après avoir été la cible d’une deuxième enquête pour corruption présumée.