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L’ancienne ministre de l’Égalité, Irene Montero, qui a récemment suscité la controverse pour sa promotion d’une loi « oui, c’est oui », sera en tête de la liste du parti pour les élections européennes afin d’avoir une « voix indépendante » séparée du groupe socialiste et des Verts/ALE, selon à des sources du parti contestataire.
L’annonce de la candidature a été faite par Podemos samedi lors d’un événement du parti à Madrid, organisé sous le slogan « Maintenant plus que jamais », et qui a rassemblé environ 600 partisans du parti anticapitaliste, qui compte actuellement cinq membres en Espagne. Parlement, a rapporté EFE, partenaire d’Euractiv.
Le différend entre Belarra et Díaz, son ancien collègue de Podemos, remonte à il y a quelques mois, lorsque Díaz a choisi de ne pas inclure Montero dans l’actuel gouvernement de coalition entre le PSOE et Sumar, après l’âpre controverse générée par le soi-disant « seul oui signifie oui ». loi, promue par Montero.
La loi controversée « seulement oui signifie oui » a dû être modifiée d’urgence par le PSOE, avec le soutien du Partido Popular (PP/PPE) de centre-droit, la principale force d’opposition à la Chambre, car elle a eu l’effet inverse de celui de la loi. on s’y attendait.
Sumar, qui compte 31 députés au Parlement espagnol et est la quatrième force à la chambre après le parti d’extrême droite Vox, avec 33 députés, a décidé de ne pas inclure le combatif Montero dans le nouveau gouvernement ni aucun ministre de Podemos pour éviter les frictions avec Sánchez, qui n’a pas caché ses mauvaises relations avec Montero et Belarra.
Le 5 décembre, le parti dirigé par Ione Belarra, ancien ministre des Droits sociaux dans le deuxième gouvernement de Pedro Sánchez (PSOE/S&D), a décidé de rompre les relations et de quitter Sumar en raison de forts différends avec le leader de la plateforme de gauche et l’actuelle vice-présidente du gouvernement, Yolanda Díaz.
Podemos est actuellement intégré à d’autres formations hétérogènes au sein du groupe mixte (Grupo Mixto) du Parlement espagnol.
Une vendetta personnelle ?
Dans une démarche politique que certains médias espagnols qualifient de « vendetta » contre « l’apartheid » auquel Podemos a été soumis, comme l’a récemment souligné le fondateur du parti et ancien ministre Pablo Iglesias, Belarra a décidé de placer Montero, une féministe radicale, au en tête de liste pour les élections européennes de juin.
Samedi, Belarra, un ami de Montero, a demandé à l’ancien ministre de l’Égalité de diriger la liste européenne de Podemos et d’aider le parti de gauche à « hisser au sommet l’étendard de la justice sociale », de l’environnementalisme et du féminisme.
« Il n’y a personne de mieux que vous pour faire avancer l’Espagne vers l’avenir », a déclaré Belarra à son camarade et ami du parti.
Podemos, avec sa « propre voix » à Bruxelles et à Strasbourg
Concernant les élections européennes, le leader de Podemos a averti que l’Europe se trouve dans « une politique dangereuse » qui tend vers la droite et est subordonnée aux intérêts américains.
« Nous ne sommes pas du Parti Socialiste (PSOE/S&D) ou des Verts (ALE-Les Verts) », a souligné Belarra, tout en précisant que son parti aspire à avoir « sa propre voix » au Parlement européen.
Montero a exprimé sa satisfaction pour son élection et a souligné que « les motivations et les espoirs qui nous ont mobilisés pour parcourir ce chemin sont toujours intacts ». L’ancien ministre faisait référence aux origines de Podemos, un parti né officiellement en janvier 2014 du mécontentement d’une partie de la gauche la plus radicale d’Espagne, se plaçant plus à gauche du PSOE, un centre libéral. -parti de gauche.
(Fernando Heller | EuroEFE.Euractiv.es)