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La Slovaquie a un nouveau gouvernement – du moins sur le papier.
Après l’annonce mardi par le parti social-démocrate Hlas (Voix), arrivé troisième aux élections du 30 septembre avec 14,7 pour cent, qu’il se concentrerait sur les négociations de coalition avec le populiste de gauche Smer (Direction), vainqueur du scrutin avec 23 pour cent, les deux partis ont annoncé mercredi un accord sur la formation d’une coalition au pouvoir.
Le nouveau gouvernement comprendra le populiste conservateur Slovenská národná strana (Parti national slovaque, SNS), qui a remporté 5,6 pour cent. Les trois partis contrôlent 79 sièges sur les 150 sièges du parlement slovaque.
« C’est la base d’un accord de coalition que nous voulons signer le plus rapidement possible », a déclaré le leader du Smer, Robert Fico. Tout en reconnaissant que les partis du nouveau gouvernement seraient confrontés à de multiples défis fiscaux et géopolitiques, il a affirmé que leur expérience précédente au pouvoir en Slovaquie – de 2006 à 2010 et de 2012 à 2020 – prouvait qu’ils étaient à la hauteur de la tâche.
« [If we are going] au diable, alors très bien, mais sur un grand cheval blanc », a déclaré Fico, paraphrasant un proverbe slovaque.
« Nous n’avons plus le temps ni le luxe d’avoir un gouvernement qui apprend à gouverner, ou qui aura besoin de mois, voire d’années, pour aplanir les différences idéologiques extrêmes entre eux. Et c’est pourquoi je suis convaincu que notre décision de rejoindre cette coalition est la bonne», a déclaré le président du Hlas, Peter Pellegrini, selon les informations locales.
Le 2 octobre, la présidente slovaque Zuzana Čaputová avait donné deux semaines à Fico pour constituer une coalition.
Selon l’accord, Smer dirigera six ministères, Hlas en aura sept et SNS trois, selon les informations slovaques.
Les promesses de campagne de l’ancien Premier ministre à trois reprises de mettre fin au soutien militaire à l’Ukraine et de résister aux sanctions contre la Russie ont suscité l’inquiétude à Bruxelles, car la victoire de Fico présageait l’arrivée d’un autre dirigeant autoritaire en Europe centrale dans le moule du Premier ministre hongrois Viktor Orbán.