Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsUn père de famille poursuit un conseil municipal après s’être brisé le poignet lorsqu’il a été catapulté hors de son vélo par une « mesure de sécurité » routière.Richard Lander circulait à vélo sur une route très fréquentée de Croydon, dans le sud de Londres, lorsqu’il est sorti de la piste cyclable pour dépasser un bus qui s’était arrêté vers 16h45 le 3 novembre.Le père de deux enfants dit qu’il n’a pas vu de « base » noire sur Brighton Road, conçue pour séparer les vélos des autres véhicules, et qu’il a été catapulté par-dessus le guidon, heurtant le sol si fort qu’il s’est cassé le poignet.Six semaines plus tard, et après que les médecins lui ont mis une plaque de métal dans le bras, le chef de projet informatique de 63 ans dit qu’il souffre toujours constamment et ne sait pas quand ni s’il pourra à nouveau faire du vélo.M. Lander s’est depuis plaint auprès du conseil de Croydon concernant les mesures de sécurité routière et a demandé aux avocats d’engager des poursuites judiciaires dans le but de mettre en lumière le problème et d’amener le conseil à apporter des changements. Richard Lander poursuit le conseil de Croydon après s’être brisé le poignet à la suite d’un accident impliquant une « mesure de sécurité » routière Le père de deux enfants s’est fracassé le poignet et a exigé qu’une plaque de métal soit installée sur son bras Photo : le vélo de M. Lander a également été endommagé par le violent impact M. Lander attribue cet accident à une « base » noire conçue pour séparer les cycles du reste du trafic.« Quand vous avez un impact comme celui-là, cela vous rend idiot et j’ai ressenti une douleur incroyable. Je suis juste reconnaissant envers les passants qui se sont arrêtés pour m’aider à sortir de la route, sans qui cela aurait pu être bien pire », a-t-il déclaré.«J’étais couvert d’ecchymoses et mon coccyx était gravement blessé, mais c’est mon poignet qui en a fait les frais. C’est ma main gauche dominante, donc cela affecte ma capacité à faire à peu près tout, de tenir une tasse de thé à m’habiller. « Je ne peux pas travailler, je ne peux pas conduire et je pense que c’est la plus longue période en 60 ans sans faire de vélo. »C’est aussi le premier accident que j’ai eu, et je pense que cela n’aurait pas dû arriver en premier lieu, et donc maintenant je veux juste m’assurer que la même chose n’arrive à personne d’autre. »M. Lander affirme que les bases ont été installées à l’origine avec des baguettes clairement visibles avant qu’il ne soit décidé de retirer la plupart d’entre elles. Même si les bases et leurs marquages réfléchissants étaient toujours là, il affirme que ces derniers ne sont guère plus que des autocollants qui pourraient facilement être endommagés par les voitures. Il a affirmé qu’il n’y avait pas d’autocollants de ce type la nuit de son incident que les lumières de son vélo auraient repérés. M. Lander affirme que les marquages réfléchissants qui lui auraient permis de voir les bordures surélevées dans l’obscurité ont été supprimés par le conseil. Il a déclaré qu’il n’y avait aucun autocollant que son vélo aurait pu repérer la nuit de l’incident. Sur la photo : les médecins ont installé des plaques de métal sur le poignet de M. Lander, mais le père dit toujours qu’il souffre et ne sait pas quand ni s’il pourra à nouveau faire du vélo.Il a ajouté : « Je portais un casque, comme je le fais toujours, un manteau haute visibilité et j’avais des lumières à l’avant de mon vélo, mais ils n’ont rien capté. S’ils sont constamment écrasés par des véhicules lourds, il va de soi que ces autocollants ne dureront pas très longtemps. »Le conseil pourrait bien sûr continuer à les remplacer, mais ce n’est qu’une solution temporaire. J’espère que cela concentrera l’attention du conseil sur la recherche d’un moyen plus permanent et plus fiable d’assurer la sécurité publique.Sam Collard, responsable des réclamations en cas d’accident de vélo chez Osbornes Law et membre de l’équipe représentant Richard, a déclaré : « Bien qu’elles ne mettent pas sa vie en danger, les blessures de Richard sont telles qu’il ne retrouvera peut-être jamais un mouvement complet de sa main et, au mieux, il devra faire face à une longue et une guérison douloureuse. »Sur une route très fréquentée aux heures de pointe, cependant, il est incroyablement chanceux qu’il n’ait pas été blessé plus gravement, et cela devrait servir de signal d’alarme au conseil de Croydon pour qu’il révise de toute urgence ses soi-disant mesures de sécurité avant les mêmes, voire pires. » ça arrive à quelqu’un d’autre.Le Conseil de Croydon a déclaré qu’il n’était pas en mesure de commenter tant que les procédures judiciaires étaient en cours.Un père de deux enfants, 63 ans, qui s’est brisé le poignet après qu’une « mesure de sécurité routière » l’ait jeté de son vélo, poursuit le conseil en affirmant qu’il ne pouvait pas voir la « base » noire parce qu’il faisait trop sombre.
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