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Les garde-côtes indonésiens ont saisi un superpétrolier battant pavillon iranien, nommé MT Arman 114, soupçonné de se livrer au transfert illicite de pétrole brut, ont rapporté les médias.
Le navire, transportant environ 272 569 tonnes métriques de pétrole brut léger d’une valeur de 304 millions de dollars, a été saisi dans le nord de la mer de Natuna la semaine dernière.
L’agence indonésienne de sécurité maritime a découvert que le Very Large Crude Carrier (VLCC) avait été impliqué dans un transfert de pétrole non autorisé de navire à navire avec un autre navire, le MT S Tinos, battant pavillon camerounais.
Les autorités indonésiennes ont révélé que l’Arman avait falsifié sa position à l’aide d’un système d’identification automatique (AIS), se faisant passer pour la mer Rouge alors qu’il opérait en réalité dans les eaux indonésiennes. De plus, le navire avait déversé du pétrole dans l’océan, en violation des lois environnementales indonésiennes.
Arrêter
Les autorités indonésiennes ont appréhendé non seulement l’Arman mais aussi son capitaine égyptien, 28 membres d’équipage et trois passagers qui étaient des proches d’un agent de sécurité à bord.
Le superpétrolier et le MT S Tinos ont tenté de fuir, déclenchant une poursuite menée par les autorités indonésiennes avec l’aide de la Malaisie, alors que les navires s’aventuraient dans les eaux malaisiennes.
Le chef de l’agence maritime, Aan Kurnia, a noté que le Tinos était censé avoir été démoli en 2018, tandis que l’Arman a été construit en 1997.
Selon les bases de données maritimes citées par les médias, l’Arman 114 était auparavant connu sous le nom de Grace 1, le même navire qui a été saisi par les commandos britanniques de la Royal Marine en 2019 pour avoir prétendument tenté de transporter du pétrole vers la Syrie en violation des sanctions de l’UE.
Il a été publié un mois plus tard à la suite d’un différend diplomatique avec les pays occidentaux.
Inquiétudes croissantes et patrouilles maritimes renforcées
Une récente analyse de Reuters a révélé une flotte « fantôme » de pétroliers impliqués dans le transfert de pétrole de pays sanctionnés comme l’Iran, la Russie et le Venezuela dans le détroit de Singapour pour échapper à la détection.
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Ce commerce clandestin, couplé à l’entrée de nombreux navires non assurés, a accru les risques de marées noires et d’accidents.
En réponse à ces préoccupations, les garde-côtes indonésiens, en collaboration avec d’autres autorités compétentes, se sont engagés à renforcer les patrouilles dans ses eaux.
En tant que plus grand archipel du monde, comprenant environ 17 000 îles, l’Indonésie est déterminée à adopter une approche ferme et résolue pour empêcher que de tels incidents ne se reproduisent.