Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words
- Alain C. a décapité le parachutiste Nicolas Galy après avoir sauté de son avion
- L’aile de l’avion a attrapé la tête de Galy et l’a arrachée
- Il s’est vu interdire de voler et a été reconnu coupable d’homicide involontaire.
Un pilote français a été interdit de vol après avoir décapité un parachutiste avec l’aile de son avion alors qu’il en sautait.
Nicolas Galy, 40 ans, était l’un des dix parachutistes à bord du vol et l’un des deux passagers qui ont sauté de l’avion au-dessus de Bouloc-en-Quercy, près de Toulouse, à environ 14 000 pieds d’altitude, vêtus d’une élégante combinaison à ailes en 2018.
Mais son vol exaltant s’est terminé par une tragédie après seulement 20 secondes lorsqu’il est entré en collision avec l’aile de l’avion, lui arrachant la tête de ses épaules et le tuant sur le coup.
Le pilote, nommé dans les médias français uniquement sous le nom d’Alain C., 64 ans, a été reconnu coupable mardi d’homicide involontaire par le tribunal correctionnel de Montauban et condamné à une peine avec sursis.
L’Association des écoles de parachutisme de Midi-Pyrénées, pour laquelle Alain travaillait, a été condamnée à une amende de 20 000 euros. Les médias français ont rapporté que la moitié de cette amende avait été suspendue.
Nicolas Galy, 40 ans, a plongé hors de l’avion à environ 14 000 pieds, vêtu d’une élégante combinaison à ailes – un engin intégral qui permet à celui qui le porte de planer comme un oiseau (image de stock)
Alain avait précédemment déclaré au tribunal que l’incident était « la tragédie de ma vie », mais a insisté sur le fait qu’il n’avait rien fait de mal et a reproché à Galy de s’être écarté de son plan de vol, affirmant qu’il s’était comporté de manière imprudente et qu’il en avait subi les conséquences.
Le Parisien rapporte qu’il n’y a eu aucune concertation sur la trajectoire de vol que l’avion suivrait après le saut.
Malgré cela, le pilote a déclaré qu’il pensait avoir été bien à l’écart des Wingsuiters avant de commencer sa descente, mais a admis qu’ils « ne descendent pas beaucoup et peuvent être en conflit avec l’avion ».
Cependant, il a insisté sur le fait que Galy, un parachutiste expérimenté avec 226 sauts, « n’a pas suivi le parcours attendu et n’aurait jamais dû suivre ce parcours ».
« Il était parallèle à l’avion… Ce n’était pas ma responsabilité, je pense que ma trajectoire de vol avait du sens », a déclaré Alain au tribunal dans des propos rapportés par le Times.
« Cela a été la tragédie de ma vie, mais je n’en suis pas responsable. »
Il est également apparu au tribunal qu’Alain avait piloté l’avion avec une licence invalide.
L’autorité aéronautique française avait restreint ses privilèges de vol en raison d’un problème de santé, mais il a quand même pris son envol.
L’avocate des proches de la victime, Emmanuelle Franck, a condamné le pilote, qui a commis « beaucoup d’imprudences ou de négligences ».