Customize this title in frenchUn tribunal américain prolonge le blocage de la stricte loi texane sur l’immigration

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Mardi 26 mars, une cour d’appel fédérale des États-Unis a prolongé son mandat sur la loi controversée du Texas qui permettrait aux forces de l’ordre de l’État de détenir et d’expulser des migrants accusés d’être entrés illégalement dans le pays depuis la frontière américano-mexicaine.

Qu’a dit le tribunal ?

Le panel de trois juges de la Cour d’appel du 5e circuit, basée à la Nouvelle-Orléans, a voté 2 contre 1 pour que le projet de loi 4 (SB4) du Sénat du Texas reste bloqué, dans une décision rendue dans la nuit.

Le tribunal a noté que les statuts de la nouvelle loi de l’État « nuisent considérablement à l’exercice du pouvoir discrétionnaire des agents fédéraux de l’immigration ».

La décision a été prise par le même tribunal qui a bloqué la loi controversée sur l’immigration quelques heures après que la Cour suprême a annulé une décision précédente d’un autre comité qui avait mis la loi en vigueur.

Le tribunal a également prévu une audience le 3 avril pour réexaminer une décision d’un tribunal inférieur qui a bloqué l’application de la loi le mois dernier.

« Depuis près de 150 ans, la Cour suprême considère que le pouvoir de contrôler l’immigration – l’entrée, l’admission et le renvoi des non-citoyens – est un pouvoir exclusivement fédéral », a déclaré la juge Priscilla Richman, qui a voté en faveur du blocage de la loi texane.

Elle a également cité la décision de la Cour suprême de 2012 qui avait invalidé une loi similaire en Arizona.

Richman a noté que quelles que soient les critiques de l’État sur les « actions et inactions » du gouvernement fédéral, c’est le rôle du président de décider comment traiter les « non-citoyens illégalement présents » dans le pays.

Une décision précédente à réviser

Le mois dernier, le juge de district américain David Ezra de la ville d’Austin, au Texas, a donné raison à l’administration du président démocrate Joe Biden, qui affirmait que la loi interférait avec le pouvoir du gouvernement fédéral en matière d’immigration accordé par la Constitution américaine.

En janvier dernier, le ministère de la Justice a poursuivi l’État du Texas et son gouverneur pour bloquer la loi qui était censée entrer en vigueur le 5 mars.

Le DOJ a fait valoir que la loi viole non seulement la Constitution et la loi fédérale qui donne au gouvernement le pouvoir de réglementer l’immigration, mais qu’elle va également à l’encontre du précédent établi par un arrêt de la Cour suprême de 2012.

Le SB4, signé par le gouverneur républicain du Texas, Greg Abbott, fait de l’entrée ou de la réentrée illégale un crime d’État, dont la violation peut entraîner des sanctions allant de 180 jours à 20 ans de prison.

La loi donne également aux représentants de l’État le pouvoir d’arrêter, de traduire en justice et d’emprisonner des personnes, un rôle longtemps réservé aux autorités fédérales.

(Avec la contribution des agences)

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