Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words
L’année dernière, la production mondiale de déchets municipaux a atteint 2,3 milliards de tonnes et les Nations Unies ont averti mercredi 28 février que ce tas d’ordures devrait augmenter des deux tiers d’ici 2050, ce qui entraînerait de graves conséquences pour la santé, l’économie et l’environnement. .
Selon une étude récente du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE), la pollution devrait augmenter, en particulier dans les régions qui dépendent actuellement des décharges à ciel ouvert et des brûlages, pratiques qui libèrent des gaz à effet de serre et introduisent des produits chimiques toxiques dans le sol, l’eau et l’air.
En l’absence d’une action rapide, le volume des déchets devrait atteindre 3,8 milliards de tonnes d’ici le milieu du siècle, dépassant les prévisions précédentes.
Le rapport indique également que le fardeau économique va presque doubler si l’on prend en compte les coûts cachés associés à une élimination inadéquate des déchets, englobant la pollution, les problèmes de santé et le changement climatique. D’ici 2050, ces coûts devraient atteindre environ 640 milliards de dollars par an, contre environ 361 milliards de dollars en 2020.
Inger Andersen, directrice exécutive du PNUE, a souligné le lien intrinsèque entre la production de déchets et le PIB, notant que de nombreuses économies à croissance rapide sont aux prises avec les défis d’une expansion rapide des déchets.
Elle a exprimé l’espoir que le rapport puisse aider les gouvernements dans leurs efforts visant à construire des sociétés plus durables et à garantir une planète habitable pour les générations futures.
Le rapport conjoint du PNUE et de l’Association internationale des déchets solides (ISWA), lancé lors de l’Assemblée des Nations Unies sur l’environnement à Nairobi, sert à la fois de guide et d’appel à l’action.
Les solutions proposées concernent non seulement l’élimination des déchets, mais également la prévention de la production de déchets. Des méthodes améliorées d’élimination et de traitement pourraient réduire les coûts annuels nets à environ 270 milliards de dollars d’ici 2050, selon le rapport.
En outre, une transition vers un modèle économique plus circulaire, dissociant l’augmentation de la prospérité et l’augmentation du gaspillage, est préconisée. Ce changement implique des pratiques commerciales durables et une gestion globale des déchets, générant potentiellement un gain net de plus de 100 milliards de dollars par an, comme le souligne le rapport.
Zoe Lenkiewicz, auteur principal du rapport du PNUE, a souligné le besoin urgent d’une approche zéro déchet pour atténuer la pollution, les émissions de gaz à effet de serre et les effets néfastes sur la santé humaine.
(Avec la contribution des agences)