Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsDans la dernière preuve évidente que le monde reste complètement hors piste lorsqu’il s’agit de s’attaquer au crise climatiquele ONU a constaté que même si les pays mettent en œuvre tous leurs engagements climatiques actuels, la pollution due au réchauffement de la planète en 2030 sera toujours 9 % plus élevée qu’elle ne l’était en 2010.Cela révèle un écart considérable entre la direction que les nations tracent et ce que la science dit être nécessaire pour éviter les impacts les plus catastrophiques du changement climatique.Selon le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, le monde doit réduire ses émissions de 45 pour cent d’ici la fin de cette décennie par rapport à 2010 pour répondre à l’ambition internationale de limiter les émissions. réchauffement climatique à 1,5 degrés Celsius au-dessus des niveaux préindustriels. Une augmentation de 9 pour cent signifie que l’objectif est loin d’être atteint.Un nouveau rapport révèle un écart marqué entre la direction que les nations tracent et ce que la science estime nécessaire pour éviter les impacts les plus catastrophiques du changement climatique. (Getty)Les scientifiques considèrent que 1,5 degré est un seuil clé au-delà duquel les impacts du changement climatique – notamment des vagues de chaleur, des sécheresses et des tempêtes plus fréquentes et plus graves – deviendront difficiles à adapter pour les humains et les écosystèmes.Les conclusions proviennent d’un rapport publié mardi par la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC), qui analyse chaque année les plans nationaux individuels visant à réduire les émissions – appelés contributions déterminées au niveau national (NDC) – des 195 pays signataires de l’Accord de Paris sur le climat. Accord.Malgré une augmentation spectaculaire des avertissements désastreux des climatologues, les émissions continuent d’augmenter. Le rapport de synthèse NDC de cette année offre cependant une petite lueur d’espoir. Les résultats montrent que la tendance à la hausse des émissions commence au moins à ralentir et que les émissions pourraient culminer et commencer à diminuer avant la fin de la décennie.Les projections montrent que les émissions en 2030 seront inférieures de 2 % à celles de 2019 et de 3 % inférieures aux niveaux estimés pour 2025, selon le rapport.Cela s’explique en grande partie par le fait que certains pays ont récemment relevé les niveaux d’ambition de leurs plans climatiques, ce qui s’est traduit par une légère amélioration par rapport à l’année dernière, lorsque l’ONU avait estimé que les pays étaient en passe d’augmenter leurs émissions de 11 pour cent d’ici 2030 par rapport à 2010 – et le l’année précédente, alors que ce chiffre était de 14 pour cent.L’ONU a constaté que même si les pays respectent tous leurs engagements climatiques actuels, la pollution due au réchauffement de la planète en 2030 sera toujours 9 % plus élevée qu’elle ne l’était en 2010. (Sean Gallup/Getty Images)Mais ce ne sont là que des « petits pas », a déclaré Simon Stiell, secrétaire exécutif de la CCNUCC, dans un communiqué.Le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a déclaré que le rapport montre que « le monde reste très loin de limiter le réchauffement climatique à 1,5 degré Celsius et d’éviter la pire catastrophe climatique ». »L’ambition mondiale a stagné au cours de l’année écoulée et les plans nationaux sur le climat sont manifestement mal alignés sur la science », a-t-il ajouté dans un communiqué. « Alors que la réalité du chaos climatique frappe les communautés du monde entier – avec des inondations, des incendies et des sécheresses toujours plus violents – le gouffre entre les besoins et l’action est plus menaçant que jamais. »Des incendies aux inondations : des intempéries frappent la côte est de l’AustralieUn deuxième rapport de l’ONU a également été publié mardi, analysant les plans des pays pour 2050 pour atteindre le zéro net, c’est-à-dire décarboner leurs économies autant que possible et éliminer de l’atmosphère toute pollution restante liée au réchauffement de la planète.Il en ressort que si toutes les stratégies à long terme étaient mises en œuvre à temps, les émissions de ces pays pourraient être inférieures d’environ 63 % en 2050 par rapport à 2019. Le rapport note toutefois que de nombreux objectifs de zéro émission nette restent incertains et assortis de longs délais, ce qui retarde toute action cruciale à l’avenir.Les conclusions de mardi font suite à Bilan mondial de l’ONU rapport publié en septembre, qui confirme également que les gouvernements n’agissent pas assez vite pour éviter des niveaux de réchauffement catastrophiques. Il a prévenu qu’il existait « une fenêtre de plus en plus étroite pour relever les ambitions et mettre en œuvre les engagements existants ».Un deuxième rapport de l’ONU, également publié mardi, analyse les plans des pays pour 2050 pour atteindre le zéro net. (Getty Images/iStockphoto)Stiell a déclaré que ces résultats devraient catalyser une action plus audacieuse lors du prochain sommet climatique COP28 de l’ONU à Dubaï. « Chaque fraction de degré compte, mais nous sommes très loin du compte », a-t-il déclaré. « La COP28 est le moment idéal pour changer cela. »Lors de la COP28, les pays achèveront l’exercice de bilan mondial, au cours duquel ils évalueront les progrès en matière d’action climatique. Le processus est destiné à alimenter la prochaine série de plans d’action nationaux sur le climat plus ambitieux qui doivent être soumis à l’ONU en 2025.
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