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Beaucoup de débats (et de divisions) sur la manière dont il mérite de figurer dans l’histoire de cet État. Qu’il doive être loué ou ridiculisé, célébré ou censuré, pour les succès et les échecs des neuf dernières années.
La vie politique de Daniel Andrews : une chronologie
Mais pour ceux qui font la queue pour prendre la relève là où s’arrête le 48e premier ministre, il n’y aura pas de temps pour méditer sur le passé.
Il y a des questions bien plus urgentes que son successeur immédiat – et toute nouvelle composition ministérielle – doit traiter.
Y compris, mais sans s’y limiter:
– Le fardeau croissant de la dette de l’État et la pression budgétaire toujours croissante
– Action revendicative imminente et menaces d’autres actions de la part des syndicats des chemins de fer et des pompiers.
– Une décision (enfin !) sur le site d’une deuxième salle d’injection controversée dans le CBD de Melbourne
– Gérer les inquiétudes croissantes de la police concernant le changement de la loi sur l’ivresse publique le jour de la Melbourne Cup
– Des explosions majeures des coûts des projets et une diminution du bassin fédéral de financement des infrastructures
– Pénurie critique de main d’œuvre
– Une opposition qui estime avoir enfin une chance
– Et un premier test du soutien électoral pour la nouvelle équipe travailliste, lorsque les électeurs de Mulgrave se rendront à une élection partielle sans le nom de Daniel Andrews sur leurs bulletins de vote pour la première fois en 21 ans.
Si l’on compare cette courte liste spontanée avec le bagage croissant qui accompagne tout gouvernement à long terme, décrire les mois à venir comme difficiles pourrait être trop poli.
Les compétences politiques d’Andrews sont devenues légendaires, tout comme sa réputation de contrôle et de pouvoir centralisé au sein de son bureau.
Cette absence après cette semaine est sur le point de créer des moments très intéressants à Spring Street.