Customize this title in frenchUne personne toujours portée disparue au lendemain d’une explosion dans un immeuble du centre de Paris

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Une personne était toujours portée disparue jeudi après qu’une explosion a ravagé un immeuble du centre de Paris, tandis que six autres étaient dans un état critique et recevaient des soins urgents à l’hôpital alors que les sauveteurs fouillaient les décombres.

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Les procureurs ont déclaré qu’une cinquantaine de personnes avaient été blessées dans l’explosion et l’effondrement d’un immeuble de la rue Saint Jacques, potentiellement causés par une fuite de gaz.

« Parmi les deux personnes recherchées dans les décombres, il s’est avéré qu’une avait déjà été admise à l’hôpital », a précisé le parquet.

« La recherche se poursuit pour le second », a-t-il ajouté, prévenant : « Ces chiffres pourraient encore changer ».

L’explosion s’est produite mercredi après-midi dans le cinquième arrondissement de la ville, à proximité du Jardin du Luxembourg et en bordure du Quartier latin, une zone touristique de premier plan dans la capitale française.

« C’était terrible. J’ai cru que c’était un tremblement de terre. Tout a tremblé », a déclaré jeudi à l’AFP Violeta Garesteaw, gardienne d’un immeuble voisin, après avoir balayé des vitres dans la cour.

« Beaucoup de fenêtres ont été brisées. Nous avons dû mettre des bâches en plastique parce qu’il pleut », a-t-elle déclaré.

L’onde de choc a détruit des fenêtres jusqu’à 400 mètres (440 verges).

Cela a déclenché un incendie majeur qui a provoqué l’effondrement du bâtiment – abritant une école de mode privée appelée Paris American Academy.

Selon la mère d’un des élèves, écrivant sur le compte Facebook de l’école, les salles de classe étaient vides à l’époque car les élèves assistaient à un défilé de la Fashion Week de Paris.

« Le bilan aurait pu être plus élevé », a déclaré l’adjoint au maire de Paris, Emmanuel Grégoire, sur la radio FranceInfo.

Quelque 70 camions de pompiers et 270 pompiers ont combattu l’incendie avant qu’il ne soit maîtrisé.

Jeudi, le cordon de sécurité avait été réduit, permettant aux journalistes et badauds de se rapprocher de l’amas de gravats devant l’ouvrage, juste en face de l’hôpital militaire du Val-de-Grâce.

Une seule lance à incendie arrosait encore sporadiquement les restes de l’immeuble, tandis que certains commerces à proximité avaient rouvert.

« Forte odeur de gaz »

Le maire du Ve arrondissement a déclaré qu’une explosion de gaz était à l’origine de l’explosion, et plusieurs témoins ont déclaré à l’AFP avoir senti une odeur de gaz juste avant qu’elle ne se produise.

Mais les responsables ont déclaré qu’ils n’avaient pas encore suffisamment de preuves pour déterminer avec certitude la cause de l’explosion.

« Un de mes collègues a remarqué une forte odeur de gaz et est sorti pour voir », a déclaré jeudi à la radio RMC Philippe Delorme, président de l’association française de l’Enseignement catholique, dont les bureaux jouxtent le bâtiment effondré.

« Au moment même où notre comptable composait le numéro d’urgence » de la compagnie gazière, « l’explosion s’est produite ».

« Evidemment, nous comptons sur les victimes pour nous donner les premiers éléments d’enquête et de compréhension de ce qui s’est passé », a déclaré sur place la procureure de Paris, Laure Beccuau.

L’explosion a également causé d’importants dommages structurels à deux bâtiments adjacents, dont les résidents ont dû être évacués.

Il y a eu plusieurs incidents d’explosions liées au gaz dans la capitale française.

En janvier 2019, une fuite présumée dans une conduite de gaz enterrée a détruit un immeuble de la rue de Trévise dans le IXe arrondissement, tuant quatre personnes dont deux pompiers.

L’onde de choc a soufflé des dizaines de fenêtres à proximité et des dizaines de familles évacuées doivent encore rentrer chez elles alors que les travaux de reconstruction se poursuivent.

Une grande partie de la rue reste toujours interdite quatre ans après la catastrophe, et les querelles juridiques sur la cause de l’explosion ont bloqué des millions d’euros d’indemnisation pour les victimes.

(AFP)

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