Make this article seo compatible, Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words
© Reuter. PHOTO DE DOSSIER : Le logo de WeWork, soutenu par le groupe japonais SoftBank Group Corp, est visible dans la fenêtre d’un immeuble de bureaux à Londres, en Grande-Bretagne, le 3 juillet 2020. REUTERS/Simon Newman/File Photo
(Reuters) -WeWork prévoit de déposer le bilan dès la semaine prochaine, a déclaré mardi une source proche du dossier, alors que la société soutenue par le groupe SoftBank (TYO 🙂 se débat avec un endettement massif et de lourdes pertes.
Les actions du fournisseur d’espaces de travail flexibles ont chuté de 32 % lors des échanges prolongés après que le Wall Street Journal a annoncé la nouvelle pour la première fois. Ils ont chuté d’environ 96 % cette année.
WeWork, basé à New York, envisage de déposer une requête en vertu du chapitre 11 dans le New Jersey, a rapporté le WSJ, citant des personnes proches du dossier.
WeWork a refusé de commenter.
Plus tôt mardi, WeWork a annoncé avoir conclu un accord avec ses créanciers pour un report temporaire des paiements d’une partie de sa dette, le délai de grâce touchant à sa fin.
La société avait une dette nette à long terme de 2,9 milliards de dollars à la fin juin et plus de 13 milliards de dollars en baux à long terme, à un moment où la hausse des coûts d’emprunt nuit au secteur de l’immobilier commercial.
Le dépôt de bilan de WeWork marquerait un renversement de fortune époustouflant pour l’entreprise qui était évaluée à 47 milliards de dollars en 2019 et un point noir pour l’investisseur SoftBank qui a coulé des milliards.
L’entreprise est dans la tourmente depuis que ses projets d’introduction en bourse en 2019 ont implosé suite au scepticisme des investisseurs quant à son modèle commercial consistant à prendre des baux à long terme et à les louer à court terme et aux inquiétudes concernant ses lourdes pertes.
Les malheurs de WeWork ne se sont pas atténués au cours des années suivantes. Il a finalement réussi à entrer en bourse en 2021 à une valorisation très réduite. Son principal bailleur de fonds, le conglomérat japonais SoftBank, a investi des dizaines de milliards pour soutenir la start-up, mais l’entreprise a continué à perdre de l’argent.
WeWork a soulevé des « doutes substantiels » quant à sa capacité à poursuivre ses activités en août, avec le départ de nombreux hauts dirigeants, dont le PDG Sandeep Mathrani, cette année.