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Le plus grand détaillant de mode en ligne d’Europe, Zalando, s’est engagé à réviser d’ici la mi-avril les allégations de durabilité qu’il fait sur ses sites Web après que l’UE les a qualifiées de « trompeuses », a déclaré la Commission européenne jeudi (22 février).
La page de développement durable existante du détaillant sera révisée en deux pages détaillées sur les normes de produits et les stratégies de développement durable de l’entreprise, et garantira que les allégations qu’il présente sont vérifiables et ont un impact environnemental significatif.
La plateforme supprimera également les drapeaux de durabilité et les icônes liées à l’environnement affichés à côté des produits qu’elle propose, et cessera d’utiliser le terme « durabilité » ou d’autres termes indiquant des avantages environnementaux, fournissant à la place des informations claires telles que le pourcentage de matériaux recyclés utilisés.
« Après plus d’un an de travail intense sur notre expérience client et d’un dialogue étroit avec la Commission européenne, nous sommes heureux d’être parvenus à un accord mutuel », a déclaré Zalando dans un communiqué par courrier électronique.
L’engagement de l’entreprise intervient alors que l’Union européenne travaille à renforcer davantage la réglementation sur les allégations environnementales.
La Commission a proposé une directive sur la justification des allégations écologiques afin d’aider les consommateurs à faire des choix d’achat durables et d’empêcher les entreprises de faire des allégations trompeuses sur les mérites environnementaux de leurs produits.
Les colégislateurs européens sont parvenus à un accord sur la directive au début du mois, obligeant les entreprises à soumettre leurs déclarations environnementales pour vérification préalable par un tiers indépendant avant de les utiliser.
En cas d’infraction, les entreprises s’exposeront à des sanctions, notamment la confiscation de leurs revenus et « une amende d’au moins 4 % de leur chiffre d’affaires annuel », a indiqué le Parlement européen dans un communiqué.
Actuellement, la loi européenne sur les pratiques commerciales déloyales est plus générale, les entreprises étant tenues de fournir des informations « véridiques » aux consommateurs et de s’abstenir de « tromper les consommateurs pour influencer leurs choix ».
« Le résultat de notre accord mutuel avec la Commission européenne est une première étape pour clarifier à l’industrie ce à quoi pourrait ressembler une expérience de développement durable conforme », a ajouté Zalando, exhortant les décideurs politiques de l’UE à mettre en place un cadre réglementaire « cohérent » pour fournir aux entreprises des réglementations juridiques. certitude.
Zalando devra désormais soumettre un rapport sur la mise en œuvre des engagements au réseau de coopération pour la protection des consommateurs de l’UE afin d’évaluer la manière dont ils ont été mis en œuvre et, si nécessaire, de faire respecter leur conformité.
Cette annonce fait suite à une rencontre l’année dernière entre Robert Gentz, co-fondateur et co-PDG de Zalando, à la Commission européenne où il a rencontré le commissaire au marché intérieur, Thierry Breton.
[Edited by Frédéric Simon]