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Antakya, dans le sud-est de la Turquie, manque de place dans ses cimetières pour enterrer les personnes tuées par le tremblement de terre de la semaine dernière.
Les habitants de la ville ont exhorté ses autorités à créer de nouveaux lieux de sépulture pour leurs proches.
La correspondante internationale d’Euronews, Anelise Borges, rapporte depuis Antakya que des fosses communes commencent à apparaître dans différents quartiers de la ville.
Des échantillons d’ADN sont prélevés sur des corps non identifiés et non accompagnés qui arrivent dans les fosses communes afin que leurs familles puissent les identifier plus tard
Antakya, dans le sud-est de la Turquie, a été l’une des régions les plus touchées par le tremblement de terre du 6 février. Et les efforts de recherche et de sauvetage sont entrés dans leurs dernières heures, car plus d’une semaine s’est écoulée depuis le tremblement de terre et les températures ont atteint -6 degrés Celsius.
Selon le président du pays, Recep Tayyip Erdogan, plus de 35 000 personnes sont mortes en Turquie. 105 505 autres personnes ont été blessées.
On s’attend à ce que ce nombre augmente, ce qui en fait la catastrophe la plus meurtrière du pays depuis un siècle.
Environ 3 700 décès supplémentaires ont été enregistrés dans la Syrie voisine, portant le bilan combiné à plus de 39 000.
Regardez le reportage d’Euronews dans le lecteur vidéo ci-dessus pour en savoir plus.
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