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Au moins 15 soldats et trois civils ont été tués dans des attaques « terroristes » coordonnées au Mali, a déclaré mercredi l’armée du pays chroniquement instable, la dernière violence meurtrière à secouer l’État du Sahel.
A Kalumba, près de la frontière mauritanienne, « le bilan du côté ami est de 12 morts, dont trois civils d’une entreprise de travaux routiers », a indiqué l’armée dans un communiqué.
Le bilan de l’armée à Sokolo, dans le centre du Mali, est de six morts et de 25 autres blessés, dont cinq grièvement.
L’armée affirme avoir tué 48 assaillants et « neutralisé trois camionnettes terroristes à 15 kilomètres (10 miles) de Sokolo avec (environ) quinze combattants et leur équipement » détruits, selon le communiqué.
Une troisième attaque, dans le centre de Mopti, s’est terminée sans faire de victimes du jour au lendemain.
Au cours du week-end, l’armée malienne a déclaré avoir déjoué une nouvelle attaque contre un camp militaire dans le centre du pays, deux jours après un attentat suicide meurtrier dans une ville de garnison stratégique près de la capitale.
C’était la première fois depuis 2012 que de telles attaques coordonnées avaient lieu si près de la capitale.
L’armée malienne a intensifié ses opérations anti-jihadistes ces derniers mois, en s’appuyant sur ce qu’elle qualifie d’instructeurs russes.
Malgré une situation sécuritaire dégradée, la junte a tourné le dos à la France et à ses partenaires internationaux, s’appuyant plutôt sur la Russie pour endiguer la menace des jihadistes au Mali, ainsi qu’au Burkina Faso et au Niger.
(AFP)
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