dieux en exil

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Comment peut-on réellement distinguer l’impudence de la béatitude dans la parole et l’écriture inspirées ? En cas de doute, pas du tout. Emanuel Maeß est un écrivain animé, voire inspiré, par de lourds produits pharmaceutiques historico-culturels. Il utilise toutes les formes de représentation contemporaines actuelles pour utiliser les moyens les plus forts, à savoir, une petite sélection : Parménide et Platon, l’évangéliste Jean et Jean de l’Apocalypse, les néo-platoniciens Plotin, Proclus et Pseudo-Dionysos Areopagita, Mechthild von Magdeburgs Gottesminne jusqu’à Hölderlin, Jean Paul et TS Eliot en presque nos années. L’encore jeune homme de Berlin ne le fait pas en dessous. Mais aujourd’hui, il parle avec ces dictons étrangers et ces idées apparemment lointaines, aujourd’hui avec une torsion vers l’étrange. À cet égard, Emanuel Maeß est effronté.

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