Disques perdus : Bloom & Rage dévoile une programmation double-A 2025 déjà très prometteuse.

Disques perdus : Bloom & Rage dévoile une programmation double-A 2025 déjà très prometteuse.

L’article explore le lien entre les jeux vidéo et l’œuvre de Stephen King, mettant en avant le jeu *Lost Records: Bloom & Rage*, qui suit quatre amis séparés par un mystère lié à leurs aventures d’adolescence. Il évoque également l’anticipation pour d’autres sorties vidéoludiques de 2025, notamment des projets variés des studios Hazelight et des créateurs de Danganronpa, soulignant un éventail de jeux qui pourraient séduire divers types de joueurs.

Les Rêves de Jeux Vidéo et l’Inspiration de Stephen King

Il y a quelques années, j’ai partagé dans les commentaires d’un article que j’avais écrit sur les adaptations vidéoludiques des œuvres de Stephen King, que mon jeu de rêve serait une version de *It* réalisée par Don’t Nod. Cette idée me revient souvent à l’esprit, surtout depuis l’annonce d’un nouveau jeu par Don’t Nod, prévu pour début 2025. Il est difficile de ne pas voir l’influence évidente de l’œuvre mythique de King, publiée en 1986, qui raconte l’histoire d’un clown araignée venu d’un autre monde et d’un groupe d’amis déterminés à l’affronter.

Un Quatuor d’Amis et le Mystère de Lost Records

Je tiens à préciser que je ne pense pas qu’il y ait une corrélation directe entre mes commentaires et le développement de ce jeu. C’est simplement une belle coïncidence qui prouve ma capacité à déceler des concepts intéressants pour des jeux narratifs, un genre qui me passionne profondément. Après plusieurs années depuis les remakes de *It* sortis entre 2017 et 2019, le moment semble idéal pour voir émerger des successeurs spirituels inspirés par cette adaptation.

Lost Records: Bloom & Rage suit l’histoire de quatre amis à travers deux périodes : leurs années d’adolescence dans les années 90 et leur réunion actuelle à l’âge adulte après près de trente ans de séparation. Le saut temporel est précisément de 27 ans, ce qui pourrait être une référence directe à *It*, ou simplement une coïncidence intrigante.

En maintenant les similitudes, ces amis se sont éloignés après avoir découvert quelque chose de très étrange dans les bois de leur ville natale, ce qui a interrompu leur passage à l’âge adulte. Ce mystère, dissimulé dans les bandes-annonces et démos jusqu’à présent, est un objet qui brille d’une lumière violette et se trouve au fond d’un cratère. Les spéculations commencent à fleurir.

Pour l’instant, il est difficile de dire grand-chose de plus sur Lost Records, et c’est précisément le but d’une stratégie marketing qui mise sur le mystère. Malgré ma capacité à anticiper certains éléments, je m’attends à être surpris lorsque le jeu sera lancé en deux parties en février et mars.

Lost Records a peut-être touché à un aspect précis de mes intérêts, mais il n’est pas le seul jeu qui me fait anticiper le début de l’année prochaine avec enthousiasme. Bien que le calendrier des sorties de jeux triple-A ne soit pas encore rempli, les premiers mois de 2025 s’annoncent riches en jeux plus modestes mais qui méritent une attention particulière.

Je pense notamment à la dernière collaboration entre Hazelight et EA Originals, où deux auteurs, l’un dans la science-fiction et l’autre dans la fantasy, se retrouvent piégés dans une version générée par IA de leurs propres mondes. Les fans de jeux coopératifs apprécieront sûrement cette approche unique qui met en lumière le plaisir du jeu en duo.

En outre, il y a également des titres très attendus comme la suite d’un RPG adoré qui rappelle les défis de la vie médiévale, une gestion loufoque de l’infrastructure en mars, et un jeu de tactique au tour par les créateurs de Danganronpa, prévu pour avril. Ces exemples illustrent la diversité et la richesse des jeux à venir.

Chaque année apporte son lot de sorties triple-A qui font le buzz, mais 2025 pourrait se démarquer comme une période où les joueurs peuvent savourer une multitude de jeux double-A qui s’adressent à des niches variées. Si cela se réalise, je suis convaincu que nous n’aurons aucune raison de nous plaindre.