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Pierre Ackroyd
Réaction, £20, pp416
Le biographe et historien Peter Ackroyd est célébré à juste titre pour son écriture innovante et passionnante. Hélas, sur la preuve de L’acteur anglais, son flair précédent l’a quitté et sa perte doit être beaucoup pleurée. Ackroyd prend un sujet fascinant et potentiellement riche – le rôle évolutif de l’acteur de théâtre en Grande-Bretagne de l’époque médiévale à nos jours – et l’étouffe sous des généralisations venteuses et des résumés de la carrière des acteurs au niveau de Wikipedia. Il y a un livre brillant à écrire sur ce sujet mais ce n’est malheureusement pas celui-ci.
Sophie Mackintosh
Hamish Hamilton, 16,99 £, pp192
Le remarquable troisième roman de Sophie Mackintosh est vaguement inspiré d’un événement historique encore inexpliqué au cours duquel les habitants de la ville française de Pont-Saint-Esprit ont succombé à un empoisonnement de masse en 1951. C’est la toile de fond d’un récit sensuel et palpitant de la l’obsession croissante qu’Elodie, la femme du boulanger frustrée, en vient à ressentir pour le glamour et mystérieux Violet et son mari ambassadeur, qui arrivent en ville et se mettent à semer la discorde parmi la population locale. L’évocation par Mackintosh du désir et du désir est si tangible que le lecteur peut sentir l’odeur du sexe illicite.
Anna Keyy
William Collins, 9,99 £, pp496 (livre de poche)
Entre 1649 et 1660, la Grande-Bretagne était une république. Il y a eu d’innombrables livres écrits sur les principaux acteurs de cette période, notamment le Lord Protector, Oliver Cromwell, mais dans ce récit sans cesse fascinant de l’un des événements les plus marquants de l’histoire du pays, le vainqueur mérité du Pol Roger Duff Cooper prix, Anna Keay plonge habilement sous les clichés bien usés sur le Commonwealth et apporte une période de révolution tranquille, incertaine et finalement infructueuse à la vie vivante. Il est difficile d’imaginer un meilleur examen du Protectorat.
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