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Grevesmühlen (dpa/mv) – La construction prévue d’un village de conteneurs pouvant accueillir jusqu’à 400 réfugiés dans la ville d’Upahl, qui compte 500 habitants, a de nouveau provoqué des manifestations dans le nord-ouest du Mecklembourg. Une manifestation a eu lieu vendredi soir à Grevesmühlen sous le slogan « Upahl doit riposter, aujourd’hui nous, demain vous! » plusieurs centaines de personnes. La police parlait d’environ 600 participants, les organisateurs d’environ 800. Une initiative citoyenne avait appelé à l’action. Au même moment, une trentaine de personnes ont participé à un rassemblement pour la solidarité et la tolérance dans la petite ville. Selon la police, les deux événements se sont « fondamentalement déroulés sans problème ».
Un porte-parole de l’initiative citoyenne avait précédemment souligné que la protestation n’était pas dirigée contre les réfugiés, mais contre la taille du projet et contre l’implication insuffisante de la communauté elle-même dans la planification. Début mars, le tribunal administratif de Schwerin a rendu une ordonnance provisoire qui a arrêté les travaux du village de conteneurs qui avaient déjà commencé. Du point de vue des juges, le district n’a pas suffisamment pris en compte le droit de participation de la communauté au moment de décider du lieu.
Fin janvier, il y a eu des protestations tumultueuses contre la construction du logement. 700 personnes ont manifesté lors d’une réunion extraordinaire du conseil de district à Grevesmühlen. Il y a également eu récemment des manifestations contre les abris pour réfugiés dans d’autres communautés du Mecklembourg-Poméranie occidentale.
Le gouvernement du Land de Schwerin a réagi avec prudence cette semaine aux protestations en cours contre la construction de grands logements collectifs dans les villages du Mecklembourg-Poméranie occidentale. Après un sommet sur les réfugiés avec les dirigeants des associations municipales, la Première ministre Manuela Schwesig (SPD) a annoncé jeudi soir que le pays créerait davantage de places pour le premier accueil des réfugiés.
L’administrateur du district du nord-ouest du Mecklembourg, Tino Schomann (CDU), s’en félicite, mais a déclaré vendredi qu’il aurait aimé entendre des faits, des chiffres et des calendriers spécifiques lors du sommet sur les réfugiés. Le logement reste le problème le plus urgent, la rapidité est nécessaire, selon l’administrateur du district.
© dpa-infocom, dpa:230310-99-908252/3
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