Faire peur, parcourir


Effrayer

L’automne est là, les nuits deviennent froides et longues, maintenant il est temps d’avoir à nouveau peur. Un classique de la littérature d’horreur est sans aucun doute « Frankenstein ». Le roman d’horreur de 1818 fascine encore aujourd’hui ses lecteurs. Il a été écrit par une femme, Mary Shelley. Le livre a été filmé plusieurs fois. acteur de cinéma August Zirner, connu d’innombrables téléfilms et films de cinéma (« Homo Faber », « Le Contrefacteur », « L’angle mort » ou « Le Miracle de Wörgl »), a un penchant pour les thèmes sombres. Ce que l’on sait moins, c’est qu’il est aussi un fan de jazz et un flûtiste passionné. Pendant des années, il s’est produit en tant que flûtiste avec le Spardosen-Terzett. Ensemble, ils se rendent au Künstlerhaus de Munich le samedi 12 novembre pour donner vie à Frankenstein.

Dans une lecture théâtrale et musicale, l’acteur lauréat du prix Grimme met en scène l’histoire d’horreur. Le trio de jazz livre la bonne bande-son – sombre, tendue, se dirigeant constamment vers de nouveaux temps forts. La performance est également disponible sous forme de livre audio (GLM-Music et Bayern2).

Zirner prête au Dr. Viktor Frankenstein, si fier d’être le seul scientifique qui a réussi à donner vie à un corps assemblé à partir de parties de cadavre, sa voix obsédante. L’histoire se termine dramatiquement, comme on le sait. Et la science n’a toujours pas réalisé le rêve éternel de la créature artificielle parfaite. Il commence à 19h30 dans la salle de bal, Lenbachplatz 8. Ticket phone 089/59 91 84 14.

Pour naviguer

Susanne Betz, auteur de Stockdorf.

(Photo: privé)

Dans le contexte du Werdenfelser Land Suzanne Betz aime, joue son nouveau livre « Heumahd ». Le roman, inspiré de « La fille au foulard blanc » de Leibl, raconte la relation – fictive – entre le peintre Wilhelm Leibl et la jeune fermière veuve Vroni dans les années 1880. « Heumahd » (Verlag C. Bertelsmann) est le quatrième roman historique de l’historien et journaliste BR, qui vit à Würmtal, après « Falcon Hunt », « The Electric Kiss » et « Dance to Freedom ». Le jeudi 10 novembre, à 19 heures, elle lira dans la librairie Kohler à Gräfelfing.

Pour apprendre

Environ 1 200 jeunes de toute l’Allemagne ont postulé, seuls 190 d’entre eux ont été acceptés. Y compris Sophie Dobler et Selahaddin Inan, tous deux scolarisés à Munich. Vous recevrez la bourse de démarrage le jeudi 10 novembre dans le bâtiment de la société de logiciels Salesforce. Des jeunes issus de l’immigration ont été sélectionnés pour bénéficier d’un financement. Pendant trois ans, ils participeront à des ateliers, découvriront divers projets et seront invités à des camps de séminaires. Ils devraient développer plus de confiance en eux pendant cette période et découvrir où se situent leurs talents.

Tous les boursiers reçoivent 1 000 euros par an à utiliser pour une formation continue. À la fin du programme, tous les jeunes doivent avoir monté leur propre projet caritatif. La Fondation Start est une filiale de la Fondation Hertie à but non lucratif. Depuis la création du programme il y a 20 ans, 3 500 boursiers l’ont suivi dans tout le pays.

Apprendre à connaître

Cinq pour Munich : Oasis, un projet de danse de David Nicholas Russo et Jasmine Ellis.

Oasis, un projet de danse de David Nicholas Russo et Jasmine Ellis.

(Photo : Verena Eccardt)

Pour la deuxième fois, les initiatives TanzQuelle et Bad Lemons Project réunissent des danseurs locaux et des chorégraphes internationaux dans des laboratoires d’une semaine. « Oasis » est le nom du projet commun, dont les résultats seront présentés au Théâtre HochX le week-end prochain. « Oasis » vient de David Nicolas Russo (source de danse) et Jasmin Ellis (Bad Lemons Project) réalisé et organisé. Les deux ont souvent travaillé ensemble. Russo, l’agité, est parfois appelé l’homme de Munich. Il fait toujours démarrer de nouveaux projets. Fils d’une mère philippine et d’un Italien qui a grandi en France, il travaille comme danseur, chorégraphe et professeur de danse. Depuis 2000, il enseigne à l’Académie de ballet de l’Université de musique et de théâtre de Munich (HMTM). Jasmine Ellis est canadienne, elle travaille comme chorégraphe et réalisatrice. L’humour, la vulnérabilité et l’intimité s’expriment souvent dans ses chorégraphies. Avec le Bad Lemons Project, elle promeut des projets de formation professionnelle, d’échange et de recherche parmi les danseurs. Les deux initiatives se sont imposées comme faisant partie intégrante de la scène munichoise et ont développé un attrait national.

Cette semaine, ils donnent aux danseurs l’occasion de se familiariser avec de nouveaux processus et styles créatifs. Et les chorégraphes invités ont la chance de découvrir la scène ancrée à Munich. Les représentations ont lieu le vendredi 11 novembre et le samedi 12 novembre à 20h au HochX à Entenbachstrasse 37.

Se réjouir

Cinq pour Munich : Jeune créatif : Fabian Dierksheide dans son atelier.

Jeune créatif : Fabian Dierksheide dans son atelier.

(Photo: Stephan Rumpf)

Il n’a que 19 ans et veut faire de l’art accessible à tous, pas seulement aux personnes ayant une formation universitaire. Les messages politiques sont plutôt rares dans les tableaux de Fabien Dierksheide, « les émotions » et la « charité » sont son inspiration, dit le jeune Munichois. Jürgen Enninger, le responsable de la culture d’Augsbourg, a tellement aimé une photo intitulée « Friends in the Park » qu’il l’a achetée. Enninger, qui dirigeait auparavant l’équipe de compétences pour les industries culturelles et créatives à Munich, a découvert Dierksheide par le biais d’un article sur la page des jeunes de la SZ.



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