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Set, Silt, Flint est une carte de ballade fascinante du nord-est de l’Écosse par la chanteuse, écrivaine et productrice écossaise-birmane Fiona Soe Paing, qui a joué dans des groupes punk entièrement féminins, a sorti un album bilingue sur le patrimoine et l’identité, et a expérimenté sauvagement avec improvisation vocale. Elle a récemment découvert qu’elle était liée par son père au chanteur de ballades Aberdeenshire, John Strachan, ce qui a approfondi sa fascination pour les chansons locales. Elle s’est ensuite tournée vers des textures et des atmosphères électroniques pour évoquer des impressions vives de leurs décors et paysages.
Le résultat est un album que Paing a également transformé en une application de promenade sonore, où la localisation GPS d’un auditeur déclenche l’audio, lui permettant d’être immergé dans les environnements qui ont inspiré les chansons – souvent des décennies, voire des siècles plus tôt. Un village côtier perdu dans une tempête à l’époque médiévale apparaît à travers un maillage d’enregistrements de terrain, de chants d’oiseaux, de voix chuchotées et de guitares en forme de cloche sur Forvie. Lass o ‘the Lecht, l’histoire d’une adolescente en 1860 qui a suivi par erreur une rivière en amont dans un blizzard, jusqu’à sa mort, est à juste titre effrayante, tandis que Paing fait même des duos avec son ancêtre sur un arrangement de Bonny Udny.
Bien que les inflexions écossaises de Paing se répercutent sur sa livraison autotunée, le son de l’album est plus global et plus séduisant. Elle revendique les héros locaux Boards of Canada comme une influence et a été encadrée par Beth Orton, mais des nuances de Broadcast et Bróna McVittie hantent également cet album. L’effet global est surprenant, inhabituel et joliment étrange.
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