HC peut-il réserver sa commande pendant un an ? La Cour suprême entendra un plaidoyer | Nouvelles de l’Inde


NEW DELHI : Il y a deux décennies, le Cour suprême avait formulé des lignes directrices pour que les hautes cours ne maintiennent pas un jugement pendant plus de six mois après l’avoir réservé, mais il est bafoué et le cour suprême a pris connaissance d’un tel cas avec HC Allahabad ne pas rendre le verdict malgré la clôture de l’audience il y a plus d’un an.
Un banc de juges Aniruddha Bose et Sudhanshu Dhulia a accepté d’entendre un plaidoyer après que l’avocat d’un condamné, Rishi Malhotra, a déclaré au banc que le HC avait réservé l’ordonnance sur son appel pénal contre condamnation en novembre de l’année dernière mais le jugement n’avait jusqu’à présent pas été prononcé. Il a supplié le banc d’intervenir et d’accorder une caution au condamné car il était derrière les barreaux depuis plus de 10 ans maintenant.
« La pétition soulève une question de droit de fond en ce qui concerne le fonctionnement du HC au niveau administratif ainsi que sur le plan judiciaire… En raison du retard, le pétitionnaire n’est même pas au courant du résultat de son recours pénal légal et reste continuellement incarcéré pendant plus de 10 ans de peine réelle. L’ironie serait encore aggravée si après un an de jugement en suspens, le HC en venait à la conclusion que le requérant mérite un acquittement dans ladite affaire, alors en dehors de l’énorme incarcération judiciaire que le pétitionnaire avait passé, un an d’incarcération serait ajouté en raison de l’absence de prononcé de jugement, ce qui a pris plus d’un an jusqu’à ce jour », indique la pétition.
« Il est logiquement tout à fait impossible pour un juge de la CH de se souvenir dans un laps de temps aussi long… de ce qui a été débattu sur les faits et quels étaient les points de droit débattus par un avocat qui comparaît pour les parties… » il a dit.
Exprimant son angoisse face à certains juges de la CH coupables de « retard excessif dans le prononcé des jugements, inconscients de leur obligation et du serment d’office qu’ils avaient solennellement prêtés », le tribunal suprême avait déclaré en 2001 dans l’affaire Anil Rai que si le jugement, pour une raison quelconque, n’est pas prononcée dans un délai de six mois, chacune des parties est en droit de saisir le président de la Cour suprême du HC d’une demande en vue de retirer ladite affaire et de la transmettre à toute autre formation pour de nouveaux arguments.





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