Israël a décrété une alerte maximale face aux tensions avec le Hamas, menaçant de reprendre les hostilités si les otages ne sont pas libérés. Le Hamas accuse Israël de violations du cessez-le-feu, tandis qu’Israël rétorque que le Hamas enfreint l’accord. Le président américain a posé un ultimatum, provoquant des réactions vives, notamment des critiques des nations arabes. Bien que le Premier ministre israélien soutienne les efforts de reconstruction à Gaza, les détails restent flous et la situation humanitaire demeure critique.
Israël en Alerte Maximale Face aux Tensions avec le Hamas
Israël a récemment déclenché une ‘alerte maximale’, signalant la possibilité d’une reprise des hostilités à Gaza si le Hamas choisit de retarder la libération des otages. Cette situation est exacerbée par les menaces du président américain, qui a averti que des conséquences graves pourraient survenir si le groupe terroriste ne respecte pas les termes du cessez-le-feu.
Les Accusations Échangées entre Israël et le Hamas
Le Hamas a accusé Israël de diverses violations, notamment l’interdiction faite aux Palestiniens de rentrer chez eux, ainsi que des bombardements ciblés. En réponse, Israël a rejeté ces accusations, affirmant que le Hamas enfreint l’accord de cessez-le-feu. Le ministre de la Défense, Israel Katz, a déclaré que la décision du Hamas de ne pas libérer les otages israéliens constituait une violation grave de l’accord. Il a ordonné aux Forces de défense israéliennes de se préparer à toutes les éventualités à Gaza, en promettant de protéger les communautés israéliennes.
Le président américain a également mis en place un ultimatum, menaçant de rompre l’accord de cessez-le-feu si les otages restants ne sont pas libérés avant un certain délai. Cette position a suscité des réactions mitigées, le Hamas dénonçant les menaces et affirmant qu’il n’y a pas de place pour un tel langage.
Les propos de Trump concernant le contrôle potentiel de Gaza par les États-Unis et le déplacement des Palestiniens vers des pays voisins ont provoqué une colère immédiate parmi les nations arabes, qui rejettent ce plan. Le déplacement des Palestiniens évoque des souvenirs douloureux de l’histoire, notamment la fuite de 700 000 personnes en 1948.
Malgré les tensions croissantes, le Premier ministre israélien a salué les intentions de Trump de reconstruire Gaza, affirmant que cela pourrait transformer la région. Cependant, des détails spécifiques sur les plans de reconstruction restent flous, laissant la question du sort des captifs en suspens et la situation humanitaire à Gaza encore plus précaire.