La Bulgarie s’attend à un déficit budgétaire de 1% du PIB pour 2022

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© Reuters. PHOTO DE DOSSIER: Une femme achète des produits alimentaires au marché de Krasno Selo, Sofia, Bulgarie, le 4 novembre 2022. REUTERS / Stoyan Nenov

SOFIA (Reuters) – La Bulgarie prévoit de terminer 2022 avec un déficit budgétaire de 1,5 milliard de levs (821,11 millions de dollars), soit 1,0% de la production économique, dépassant un objectif révisé de 3,4%, a déclaré le ministère des Finances.

Une perception des impôts meilleure que prévu, une augmentation des paiements des producteurs d’énergie publics et des dépenses en capital plus faibles ont aidé le pays des Balkans à réduire son déficit budgétaire cette année par rapport aux 3,0 % qu’il avait enregistrés en 2021.

La Bulgarie, secouée par l’instabilité politique, a décidé de prolonger son budget 2022 jusqu’à la nouvelle année jusqu’à ce qu’un nouveau gouvernement soit formé et présente ses propres plans budgétaires pour 2023.

Le gouvernement intérimaire a averti que l’augmentation des pensions de l’État et d’autres dépenses sociales au second semestre 2022 dans un contexte de ralentissement économique imminent signifiait que le déficit budgétaire atteindrait plus de 6,6 % de la production économique en 2023.

La baisse des investissements et les retards dans l’utilisation des fonds de l’Union européenne ont réduit le déficit budgétaire pour 2022, mais ces dépenses seraient transférées en 2023, augmentant la pression sur le budget l’année prochaine, a déclaré le ministère des Finances dans un communiqué.

Au cours des 11 premiers mois de 2022, le pays a enregistré un déficit budgétaire de 398 millions de levs, soit 0,2% de la production économique de l’année, a annoncé vendredi le ministère. La Bulgarie charge souvent ses dépenses publiques vers la fin de l’année.

Le ministère des Finances prévoit que les recettes publiques, soutenues par une inflation élevée, ont augmenté à 64,7 milliards de levs fin décembre contre 52,3 milliards de levs il y a un an, principalement en raison de l’augmentation des paiements des producteurs d’énergie.

Il prévoit que les dépenses ont bondi à 62,9 milliards de levs contre 54,6 milliards de levs il y a un an, principalement en raison des indemnités versées aux entreprises pour les protéger de la flambée des coûts énergétiques et des augmentations de certains salaires et pensions de l’État.

Les réserves fiscales, détenues dans le cadre d’un régime monétaire qui rattache le lev à l’euro, s’élevaient à 12,8 milliards de levs fin novembre, selon les données.

(1 $ = 1,8268 leva)

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