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Lockheed Martin et Raytheon Technologies’ Raytheon Missiles and Defence n’ont pas le droit d’importer des marchandises en Chine ou de faire de nouveaux investissements dans le pays, a annoncé jeudi le ministère du Commerce.
Il a déclaré qu’ils avaient été ajoutés à la liste des « entités non fiables » des entreprises dont les activités sont restreintes parce qu’elles pourraient mettre en danger la souveraineté nationale, la sécurité ou les intérêts de développement.
Taïwan et la Chine se sont séparés en 1949 après une guerre civile. L’île de 22 millions d’habitants n’a jamais fait partie de la République populaire de Chine, mais le Parti communiste se dit obligé de s’unir au continent, par la force si nécessaire.
Le gouvernement du président Xi Jinping a intensifié ses efforts pour intimider Taïwan en faisant voler des avions de chasse et des bombardiers près de l’île et en lançant des missiles dans la mer.
Les États-Unis n’ont pas de relations officielles avec Taïwan mais entretiennent de nombreux contacts commerciaux et informels. Washington est tenu par la loi fédérale de s’assurer que le gouvernement de l’île a les moyens de se défendre.
Les États-Unis sont le principal fournisseur d’équipements militaires de Taïwan.
Raytheon Missiles and Defense a remporté un contrat de 412 millions de dollars (597 millions de dollars) en septembre pour mettre à niveau le radar militaire taïwanais dans le cadre d’un ensemble de ventes d’armes américaines de 1,1 milliard de dollars (1,6 milliard de dollars) à l’île.
Boeing Defence a reçu un contrat de 355 millions de dollars (514 millions de dollars) pour la fourniture de missiles Harpoon.
Pékin a répondu à cette vente en annonçant des sanctions contre les PDG de Raytheon et de Boeing Defence mais n’a donné aucun détail sur ce qu’elles étaient.
Lockheed Martin a fourni à l’armée taïwanaise des radars, des hélicoptères et des équipements de contrôle du trafic aérien. Il joue un rôle dans le développement de l’île de ses propres avions de chasse et frégates de la marine.
Les États-Unis envoient un destroyer en territoire revendiqué par la Chine
En Chine, Lockheed Martin a vendu des équipements de contrôle du trafic aérien pour les aéroports civils et des hélicoptères à usage commercial.
Pékin a annoncé des plans pour la liste des « entités non fiables » en 2019 en réponse aux restrictions américaines imposées à Huawei Technologies, un fabricant chinois d’équipements de télécommunications.
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